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point de vue littéraire, la confrontation serait
absurde
, j’en conviens. Mais notre optique n’est-elle point faussée par un ét
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uade de son intérêt humain. Et si tout cela reste
absurde
aux yeux de ceux pour qui seule compte certaine « originalité » dans
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orité physique. Mais non moins de son obstination
absurde
et touchante à vouloir « les gens » plus vivants, plus naturels, plus
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fait un objet de discours. Par là même il le rend
absurde
. Il le « mystifie ». Qui dit discours dit raison ; qui dit raison sup
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it raison suppose comparaison, et rien n’est plus
absurde
que de comparer un pays à un autre, un amour à un autre, car où est l
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ur dessein, plus ou moins déguisé, de pousser à l’
absurde
les attitudes de vie ou de pensée qui ne se fondent pas dans cette vi
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itement aveugles ? Ou bien est-ce ma gêne qui est
absurde
? Essayer de confronter la culture et la réalité, c’est peut-être pro
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el. Il trouve normal de vivre une vie humainement
absurde
. Non qu’il n’en distingue pas l’absurdité, mais simplement il sait po
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et borné son attente au salaire. Or toute vie est
absurde
et violemment inacceptable, qui ne s’ouvre pas sur l’attente d’une ré
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pour le niveau « normal », ces règles paraissent
absurdes
quand Alice est plus grande, et vexatoires quand elle est plus petite
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e foi qui affirme et qui maintienne en vertu de l’
absurde
. Ah ! comme on se lasse de gagner à tout coup, pour peu qu’on ait l’e
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répétition, grain de poussière isolé d’un univers
absurde
relevant de la pure statistique, ou cellule transitoire d’un corps ma