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èvre tombée, poursuivra durant toute sa vie une «
activité
littéraire ». Ces deux expériences seraient antithétiques si elles ét
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ulement où il portait en tous les domaines de son
activité
une application volontaire et soutenue. Ce n’est donc pas l’aspect li
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llure d’une discipline de l’âme. Un exercice, une
activité
organique à objectifs limités et concrètement conditionnée, nullement
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pas absence de mots. C’est encore chez Goethe une
activité
réelle, et même à double effet. Qu’y a-t-il de plus agissant, dans un
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ion du Grand-Duché. « J’ai toujours considéré mon
activité
extérieure et ma production comme purement symboliques, et, au fond,