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ressent de toutes parts au choix, jusque dans nos
admirations
, nous pressent d’affecter toute chose, même spirituelle, d’une sorte
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sa vérité. Il y a donc de l’équivoque dans notre
admiration
(ou notre déception) devant les témoignages qu’on nous propose. Un pe
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rer certaines conclusions propres à « repousser l’
admiration
». Rien n’est plus conforme au style kierkegaardien que la manière do
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e, « littérature kierkegaardienne » évidemment, «
admiration
» et non « imitation ». Mais peut-on publier autre chose que ce reste
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on, le tout accompagné de sentiments « humains »,
admiration
, répulsion, pitié, etc. En somme, tout se borne à une certaine « symp
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souvent des Variations de Bossuet, avec une vive
admiration
, mais se refuse à Kierkegaard, qu’il juge « trop long ». Marquant ain