1
mortalité. Caille s’avance dans la journée, et l’
angoisse
autour de lui grandit. De partout l’orage s’amasse. Vers le soir, il
2
onsciente. Il y a dans tout désespoir à la fois l’
angoisse
de la catastrophe et la secrète, l’inavouable joie de la libération.
3
32, dans ce Francfort en proie au Carnaval et à l’
angoisse
, ce n’est pas moi qui pose la question : elle m’assiège. Le dernier c
4
des. Et maintenant, c’est vous qui glissez dans l’
angoisse
. Vous et vos maîtres. Bientôt vous chercherez des équipes de sauvetag
5
cassé (le gauche) ; l’humiliation de la chute, l’
angoisse
d’être diminué, les difficultés qu’on découvre, déconcertantes ; puis
6
nt peut-être à échapper à cette vision, qui est l’
angoisse
même. Est-ce pur hasard si la théologie chrétienne rend compte de pre
7
., p. 53. 39. Dans sa belle préface au Concept d’
Angoisse
(trad. Tisseau, chez Alcan) Jean Wahl écrit de même : « Remarquons qu
8
ou le postier, ou un Renaud, j’éprouve une brève
angoisse
: quel rapport entre cet homme à qui je parle, et le mot « homme » da
9
mesure, sinon de raisons formulables, du moins… d’
angoisse
, ou de vision finale, qu’il s’agit de maintenir par un constant effor
10
où la joie de détruire devient douleur, et dans l’
angoisse
d’une puissance anéantie par son succès, que Nietzsche a rencontré so
11
e foi cède au vertige. Sa dernière résistance à l’
angoisse
du temps se manifeste alors par la manière dont il décide d’identifie
12
sur des millions de crimes ? Elle vient de notre
angoisse
devant le temps. Anticiper l’avenir, c’est tenter de se convaincre qu
13
hâter sa venue bienfaisante, c’est projeter notre
angoisse
en avant, pour tenter d’asservir l’imprévu. Bien souvent la recherche