1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Éloge de l’imprudence, par Marcel Jouhandeau (septembre 1932)
1 dans ces marches extrêmes du bien et du mal où l’ apologie de l’un équivaut presque à celle de l’autre. C’est là qu’éclate la vi
2 férés, et toutes leurs tentations. En sorte que l’ apologie de l’un évoque la grandeur de l’autre, et peut-être le secret désir d