1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Éloge de l’imprudence, par Marcel Jouhandeau (septembre 1932)
1 a dialectique paulinienne postule que bien et mal appartiennent au règne de la loi (de la morale). Et c’est la foi qui en libère, non
2 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Une idée de Law (janvier 1937)
2 qu’on trouve cette remarque hardie : La victoire appartient toujours à celui qui a le dernier écu. On entretient en France une ar
3 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
3 uvait se répéter, revenir comme les saisons, il n’ appartiendrait pas à l’Histoire, mais au Mythe. De même l’individu ne devient une pe
4 été vaincu au matin de Pâques, que l’homme ne lui appartient que par la chair (étant au monde mais non du monde) et qu’un terme es
5 s du christianisme. Si, au contraire, le « sens » appartient à l’Histoire, et l’Histoire au César du moment, la police politique d
4 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
6 le élague le vrai moi, qu’elle en disjoint ce qui appartient en propre au collectif (l’inconscient, le surmoi, les archétypes) ou