1
a dialectique paulinienne postule que bien et mal
appartiennent
au règne de la loi (de la morale). Et c’est la foi qui en libère, non
2
qu’on trouve cette remarque hardie : La victoire
appartient
toujours à celui qui a le dernier écu. On entretient en France une ar
3
uvait se répéter, revenir comme les saisons, il n’
appartiendrait
pas à l’Histoire, mais au Mythe. De même l’individu ne devient une pe
4
été vaincu au matin de Pâques, que l’homme ne lui
appartient
que par la chair (étant au monde mais non du monde) et qu’un terme es
5
s du christianisme. Si, au contraire, le « sens »
appartient
à l’Histoire, et l’Histoire au César du moment, la police politique d
6
le élague le vrai moi, qu’elle en disjoint ce qui
appartient
en propre au collectif (l’inconscient, le surmoi, les archétypes) ou