1 résurrections dominées par des rythmes et par des archétypes qui s’accordent à ceux de l’âme. Ainsi le rêve universel du temps cyc

2 fait, non plus d’un avatar ni de l’épiphanie d’un archétype . Cette rupture du Cercle cosmique livre l’homme à l’imprévisible, c’e

3 ropre au collectif (l’inconscient, le surmoi, les archétypes ) ou au biologique (l’hérédité, l’équilibre endocrinien), et nous le m

4 enir en aide à Ohrmazd) et qui sont à la fois les archétypes célestes des êtres et leurs anges tutélaires. Il y a plus : selon le

5 tie visible du monde invisible, mais premier, des archétypes . L’événement majeur, la scène capitale du drame de la personne ainsi

6 tre du monde spirituel (qui est le monde réel des Archétypes ), le pont Chinvat s’élance, reliant un sommet au monde des Lumières i

7 ées terme à terme d’un degré vers le « ciel » des archétypes  : ainsi la dualité ego-vrai moi y devient celle de l’âme et de son an