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par une agression hitlérienne, irait-on se battre
au nom de
la liberté nationale ou au nom de la liberté populaire ! Flatus vocis
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it-on se battre au nom de la liberté nationale ou
au nom de
la liberté populaire ! Flatus vocis ! Il n’y a qu’une seule manière d
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de dénaturer les grands mots d’ordre populaires,
au nom de
mystiques sans puissance contre les menaces réelles, — qui sont la gu
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vité humaine au ras du sol, sous ce grand soleil…
Au nom de
quelle « vérité » brutaliser et bouleverser à grand fracas de moteurs
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libre disposition des peuples, puis leur annexion
au nom de
« l’unité nationale ». 3. Quelle fut la réponse des démocraties ? — I
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actement ce que Kierkegaard, par exemple, rejette
au nom de
sa foi : tout ce qui n’est que sociologie. (Je ne dis pas que ce soit
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ion ne sont pas les mêmes : les moralistes jugent
au nom de
la société, les spirituels au nom de l’amour. Nous n’invoquerons ici
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istes jugent au nom de la société, les spirituels
au nom de
l’amour. Nous n’invoquerons ici que les seconds. L’école chrétienn
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l’adultère de la femme mariée ; mais ce n’est pas
au nom de
l’amour, on le pense bien.) « Écarte les choses, ô amant, ta voie est
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que le christianisme, en condamnant la sensualité
au nom de
l’esprit, l’a posée comme réalité et catégorie spirituelle. Dans les