1 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Ni gauche ni droite (août 1935)
1 par une agression hitlérienne, irait-on se battre au nom de la liberté nationale ou au nom de la liberté populaire ! Flatus vocis
2 it-on se battre au nom de la liberté nationale ou au nom de la liberté populaire ! Flatus vocis ! Il n’y a qu’une seule manière d
3 de dénaturer les grands mots d’ordre populaires, au nom de mystiques sans puissance contre les menaces réelles, — qui sont la gu
2 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
4 vité humaine au ras du sol, sous ce grand soleil… Au nom de quelle « vérité » brutaliser et bouleverser à grand fracas de moteurs
3 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Page d’histoire (novembre 1938)
5 libre disposition des peuples, puis leur annexion au nom de « l’unité nationale ». 3. Quelle fut la réponse des démocraties ? — I
4 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Propos sur la religion, par Alain (avril 1939)
6 actement ce que Kierkegaard, par exemple, rejette au nom de sa foi : tout ce qui n’est que sociologie. (Je ne dis pas que ce soit
5 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
7 ion ne sont pas les mêmes : les moralistes jugent au nom de la société, les spirituels au nom de l’amour. Nous n’invoquerons ici
8 istes jugent au nom de la société, les spirituels au nom de l’amour. Nous n’invoquerons ici que les seconds. L’école chrétienn
9 l’adultère de la femme mariée ; mais ce n’est pas au nom de l’amour, on le pense bien.) « Écarte les choses, ô amant, ta voie est
10 que le christianisme, en condamnant la sensualité au nom de l’esprit, l’a posée comme réalité et catégorie spirituelle. Dans les