1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
1 frein des arts occultes laisse l’esprit de Faust béant sur le vide : « Moi qui me suis cru plus grand que le Chérubin… qui p
2 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Éloge de l’imprudence, par Marcel Jouhandeau (septembre 1932)
2 et la nécessité du Mal absolu ; sur quoi il reste béant . Mais la réalité de la foi est inverse. Elle fait voir le mal comme d
3 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
3 mporte sans espoir à l’aventure. Devant le risque béant , soudain total, l’homme qui n’a pas de foi cède au vertige. Sa derniè
4 s ouvert, elle refuse d’affronter cette situation béante qui fut celle des premiers chrétiens, mais elle en reste tributaire —