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frein des arts occultes laisse l’esprit de Faust
béant
sur le vide : « Moi qui me suis cru plus grand que le Chérubin… qui p
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et la nécessité du Mal absolu ; sur quoi il reste
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. Mais la réalité de la foi est inverse. Elle fait voir le mal comme d
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mporte sans espoir à l’aventure. Devant le risque
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, soudain total, l’homme qui n’a pas de foi cède au vertige. Sa derniè
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s ouvert, elle refuse d’affronter cette situation
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qui fut celle des premiers chrétiens, mais elle en reste tributaire —