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les doctrines de l’Inde, ou nées en Inde comme le
bouddhisme
, dénoncent depuis des millénaires comme l’illusion fondamentale. Il y
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upanishads, et les premiers écrits canoniques du
bouddhisme
: il faut éteindre le désir individuel, cause de l’erreur, des souffr
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urrection de la chair ». Il en va de même pour le
bouddhisme
originel. Qu’est-ce que l’homme ? Un ensemble transitoire d’agrégats
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as renaître », nous dit une moderne interprète du
bouddhisme
tibétain66. À l’autre extrémité géographique (et parfois spirituelle)
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un certain christianisme — à partir d’un certain
bouddhisme
— et certainement le mazdéisme et les soufis : il s’agit d’une seule
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ain ! ajoutent les spirituels du védantisme et du
bouddhisme
. S’il est vrai que « la notion de Moi n’a d’accès que dans la pensée
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ristianisme et de la nature de l’hindouisme ou du
bouddhisme
, la vie réelle de l’Occident est en conflit avec la foi, tandis que l
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d’aimer aussi son ennemi ne sont pas absentes du
bouddhisme
car l’ennemi et toi-même ne diffèrent que par les attachements du moi
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osées à ce problème par l’Inde, le taoïsme, et le
bouddhisme
tibétain, voir Alexandra David-Neel, Immortalité et Réincarnation, 19
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(hynayânistes). 66. Cf. Alexandra David-Neel, Le
Bouddhisme
du Bouddha, 1960, p. 51-59. 67. D. T. Suzuki, Mysticism Christian a
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2. Katha upanishad. 83. Alexandra David-Neel, Le
Bouddhisme
du Bouddha, p. 45. 84. Chang Chen-Chi, The Practice of zen. 85. To