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lement parce que j’étais à bout de ressources, ne
bougeais
plus ni pied ni patte et n’écrivais plus à personne. Je crois à la va
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sire sans se l’avouer. Voilà pourquoi personne ne
bouge
. C’est effrayant, cette immobilité devant le péril. La dictature fasc
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raie passion ! Il traque sans relâche tout ce qui
bouge
, tout ce qui s’arrête, tout ce qui fait mine de résister. Voluptés br