1
au pouvoir d’incarner sa vérité, le mal du siècle
c’est
l’impuissance. La proie de désirs divergents qui prennent rarement as
2
lut, et dont la composante réelle tend vers zéro,
c’est
d’une philosophie de l’existence personnelle qu’avant tout nous avons
3
aard nous en propose le type le plus efficace. Et
c’est
ainsi par une nécessité organique — nous sommes nécessiteux — que son
4
e péché ne devient réalité que pour le converti ;
c’est
donc la conversion qui figure l’acte par excellence du chrétien, hors
5
à l’impuissance. (Si Kassner exprime un tourment,
c’est
en tant que la réalité humaine, non sa pensée privée, est tourmentée.
6
rofesser une chose mais d’être la chose. Le rare,
c’est
que chez Kassner comme chez Kierkegaard, cette présence s’accommode d
7
ur ironie, ce qui rapproche Kassner et son maître
c’est
leur vision tragique du péché. Le Lépreux, journal apocryphe de l’emp
8
ques et de frissons anarchiques. Le thème commun,
c’est
sans doute l’atrocité de la « vie normale », ou si l’on préfère, l’am
9
e reproche, car ce qui lui importe, comme à nous,
c’est
précisément le sentiment d’absurdité qui se dégage de pareils faits l
10
les. Ce qui gêne pourtant, en plusieurs endroits,
c’est
un certain tour désinvolte, le coup de pouce voltairien, l’élégance t
11
olue et naïve où gît leur profonde raison d’être.
C’est
pourquoi les meilleurs contes du volume sont ceux dont la lenteur nou
12
acceptation profonde d’aujourd’hui. Aujourd’hui,
c’est
le titre du journal grâce auquel chaque semaine ou presque, il repren
13
ée et par elle tout un pays et son peuple ; car «
c’est
ici le pays de la solidité, parce que c’est le pays des ressemblances
14
car « c’est ici le pays de la solidité, parce que
c’est
le pays des ressemblances. Regarde, tout y tient ensemble fortement,
15
nt confondu ces notions.) Le communisme ramuzien,
c’est
celui qu’établissent la mort, la peur, la maladie. Et la joie, ce poi
16
ain aspect usuel de la chose pour toute la chose.
C’est
pourquoi il s’attarde à décrire le concret d’une façon concrète : ain
17
s par trop détaillés. Mais l’important, je pense,
c’est
qu’une page de Ramuz — même pas très réussie, et il y en a qui ont un
18
qui ont un air raté, un air pastiche de Ramuz —,
c’est
qu’une seule page de ce livre lue avec cette lenteur qu’elle impose,
19
la limite : car la plus grande crise imaginable,
c’est
l’arrêt absolu, suprême : le Jugement dernier. Le sens de l’actuelle
20
ns quel esprit Ramuz les pose, et que précisément
c’est
l’esprit de ces Signes. Aussi serait-il bien insuffisant de dire d’un
21
se, qu’elle en revêt une actualité accidentelle :
c’est
en quelque sorte le contraire qui est vrai ; c’est notre temps qui re
22
’est en quelque sorte le contraire qui est vrai ;
c’est
notre temps qui revêt une actualité7 et une réalité véritables du fai
23
s son œuvre, comme le mystique dans sa prière. Et
c’est
pourquoi le poète, Ramuz, l’homme qui vit concrètement les grands myt
24
observer ». 5. De tout bel canto, peut-on dire.
C’est
le ton de la musique de Stravinsky, du Sacre et des Noces. Le ton de
25
enser devient fauteur de crise. Informer le réel,
c’est
en quelque sorte le mettre en état de crise ; et il n’y a de réalité
26
et la Magie latente ; et s’ils ne le voient pas,
c’est
que précisément cette défense a réussi. Par contre ils veulent bien v
27
ces deux hommes avant tout comme des écrivains ?
C’est
par la chose écrite, par la lettre justement qu’ils s’opposent le plu
28
à leur équation d’existence, pourrait-on dire. Or
c’est
, chez l’un comme chez l’autre, une révolution profonde de l’esprit do
29
dans notre esprit l’étonnement du premier regard,
c’est
la similitude de forme, c’est-dire la similitude essentielle, hors du
30
vre sa forme véritable. Et si, comme chez Goethe,
c’est
une forme mystique, celle du terrible « Meurs et deviens ! », et s’il
31
! », et s’il l’assume en connaissance de cause, —
c’est
un événement qui ne peut normalement se traduire que par une qualité
32
l n’y a pas une révolte, il y a un péril conjuré.
C’est
contre ce qu’il nommera désormais son Daimon, contre « l’oppression d
33
ramène à l’aspect concret de notre condition. Et
c’est
seulement en passant par une application matérielle que la magie, se
34
la magie domptée ; conçue sous de tels auspices,
c’est
tout naturellement que la littérature prendra plus tard chez Goethe l
35
nd. Car un tel silence n’est pas absence de mots.
C’est
encore chez Goethe une activité réelle, et même à double effet. Qu’y
36
hirait mieux que la retenue même de l’expression.
C’est
pourquoi je l’éprouve plus vivement dans certains passages des Affini
37
ord la voix intérieure, la renie même bruyamment.
C’est
là le fait d’une âme qui se refuse encore à la souffrance et la crie
38
, c’est-à-dire le réel désir d’être « utile », et
c’est
le juste point : les Affinités. D’ailleurs, l’alternance des trois ét
39
et dans la profondeur, des conceptions s’opèrent.
C’est
ainsi que la magie reniée extérieurement au profit d’une expression «
40
noncement ; même si la passion l’occupe un temps,
c’est
l’action, la Tätigkeit — le grand mot goethéen — qui triomphera désor
41
e d’assigner à l’homme actif 8, l’on découvre que
c’est
la magie encore qui n’a cessé de l’entraver : Könnt ich Magie von me
42
in, Da wärs der Mühe wert, ein Mensch zu sein.9
C’est
tout le drame secret de l’œuvre qui s’avoue dans ce cri : chaque fois
43
ette agonie symbolique de toute son existence, et
c’est
leur chœur qui chante une dernière fois la loi, au moment où il reçoi
44
és symboliques l’accueillent dans leur harmonie :
c’est
la « grande Magie » que Faust enfin rejoint dans la pleine possession
45
u’au mythe. La donnée initiale est bien la même :
c’est
l’attrait d’une vision qui transcende la vie médiocre. Rimbaud s’y la
46
z tôt que nous sommes à l’Occident. » L’Occident,
c’est
l’Esprit incarné. L’incarnation entraîne des « conditions ». C’est la
47
carné. L’incarnation entraîne des « conditions ».
C’est
la vision du travail humain, inexorable et dégoûtant, mais comment éc
48
à chercher et la réalité rugueuse à étreindre. »
C’est
le cri même de Faust. « Il faut être absolument moderne. » Travailler
49
particulier. Ce renoncement à un Orient de mythe,
c’est
cela même qui constitue l’Occident spirituel. C’est le refus de la ma
50
est cela même qui constitue l’Occident spirituel.
C’est
le refus de la magie qui fonde notre éthique, et ce dilemme est peut-
51
e suite d’actes. Dilemme, en son fond, religieux.
C’est
une forme dialectique, « agonique », de la vie de l’âme, une forme cr
52
nsion et la diversité de ses aspects le prouvent.
C’est
l’opposition du savoir et du pouvoir, de la connaissance et de la sou
53
, dans un mouvement que sa violence rend unique :
c’est
qu’ils reviennent tous deux de loin, d’un long abandon à l’erreur. Go
54
ur. Goethe n’a pas connu de tels déchirements. Et
c’est
lui qui méritera la phrase de la Saison : « Pas de partis de salut vi
55
visible à tout autre, l’accompagne sans trêve, et
c’est
d’elle qu’il tire ses forces, toujours renouvelées. Mais il y faut un
56
orte d’instinct, libérant l’attention consciente.
C’est
ainsi que le voyant audacieux qui écrivit les chœurs mystiques du Sec
57
s dans l’aventure rimbaldienne. Mais chez Goethe,
c’est
la longueur du temps qui les dénoncera. Et cette fameuse sérénité de
58
é sur la composition d’Iphigénie ou des Ballades,
c’est
que l’art est pour lui la tentation la plus aiguë de jouer avec les m
59
l’on soit apte à s’agréger ce qui est supérieur.
C’est
pourquoi l’on fait bien, dans la vie ordinaire, de garder ces choses-
60
ience spirituelle, où il se livre tout entier. Et
c’est
là sa pureté, mais c’est aussi ce qui l’accule en fin de compte à l’é
61
se livre tout entier. Et c’est là sa pureté, mais
c’est
aussi ce qui l’accule en fin de compte à l’évasion. La rage avec laqu
62
ermettrait de placer Goethe au-dessus de Rimbaud.
C’est
la pureté démesurée de Rimbaud qui nous juge, et la grandeur humaine
63
action redevient notre seul critère de cohérence.
C’est
dire que nous demandons aux œuvres que nous aimons de témoigner d’une
64
, par Georges Duhamel (mai 1932)e L’ambiguïté,
c’est
du paradoxe détendu ; ou si l’on veut, c’est une contradiction intéri
65
ïté, c’est du paradoxe détendu ; ou si l’on veut,
c’est
une contradiction intérieure dont les deux termes, faute d’être assum
66
e que le désir d’être entendu du grand public, et
c’est
pourquoi l’on ne voudrait pas reprocher à M. Duhamel d’avoir adopté p
67
er que l’instrument révèle son insuffisance quand
c’est
un virtuose qui se mêle d’en jouer. Mais sans doute le but serait-il
68
de fantaisie qui enflammerait notre indignation.
C’est
que l’expression traditionnelle de la mauvaise humeur gauloise, hérit
69
xpressément dans une hargne tempérée de badinage.
C’est
à la fois trop et trop peu. Car, ou bien M. Duhamel critique l’abus d
70
ordre de grandeur du grief qu’il fait à ce temps.
C’est
ce qu’en vain l’on cherche au cours de cette suite de messages adress
71
page 16). 17. « Si je cherche querelle au monde,
c’est
que, jusqu’à nouvel ordre, je lui fais encore confiance ». Ainsi se t
72
et que personne s’occupe ». Dès la seconde page,
c’est
à pousser des cris de joie. Les enfants comprendront-ils ? Dans la me
73
. Et sa vertu est choix. L’absolu d’un Nietzsche,
c’est
le Grand Midi ; et sa vertu : dépassement. Jouhandeau à son tour se p
74
ogie de l’un équivaut presque à celle de l’autre.
C’est
là qu’éclate la violence des contraires. Pour tous ceux qui ont l’aud
75
avec une violence égale à celle de la tentation —
c’est
la même violence — dans chaque situation existentielle. En sorte qu’i
76
i de Nietzsche, celui présentement de Jouhandeau,
c’est
de transcender la morale et ses canons donnés d’avance. L’audace du «
77
paraîtront plus abstraits qu’ils ne le méritent.
C’est
qu’ils supposent l’existence d’un bien et d’un mal concrets dont les
78
partiennent au règne de la loi (de la morale). Et
c’est
la foi qui en libère, non pas cette « générosité » malgré tout équivo
79
a conquis le monde. Le défaut de ce point de vue,
c’est
qu’il n’étonnera personne, alors qu’Alexandre est tout de même un phé
80
pour définir un front unique, fût-il provisoire.
C’est
dans cette vue qu’ont été réunies — rapidement car tout nous presse —
81
ient des gens dangereux et avides. Et maintenant,
c’est
vous qui glissez dans l’angoisse. Vous et vos maîtres. Bientôt vous c
82
r une « utopie » partiellement traduite en faits.
C’est
même, à voir les choses de près, leur unique argument contre les révo
83
atérielle, temporaire, et d’ailleurs discutable ?
C’est
l’homme qui se révolte en nous contre le marxiste. Vous n’y ferez rie
84
ous prétexte qu’il faut se hâter, et qu’en Russie
c’est
en train de marcher. Nous jouerons tout sur une révolution vraie. Les
85
e et vital. Il n’y a pas de troisième terme, — ou
c’est
la mort19. Mais la coefficience de deux termes vrais, et assumés comm
86
ence de deux termes vrais, et assumés comme tels,
c’est
la personne. L’opposition de Proudhon et de Marx, sur le terrain écon
87
nent entièrement le devenir révolutionnaire. Mais
c’est
de la mythomanie ; les « Forces économiques », dont ils parlent avec
88
ue nier cette valeur « décisive » de la personne,
c’est
désarmer la révolution. Mais il y a plus. Si la personne est véritabl
89
cée comme antirévolutionnaire20. Le matérialisme,
c’est
l’opium de la révolution. 3e — La conception personnaliste est seule
90
ondes de la France. Cette révolte de la personne,
c’est
la révolte jacobine, c’est la révolte de 89, dans ce qu’elle garde de
91
évolte de la personne, c’est la révolte jacobine,
c’est
la révolte de 89, dans ce qu’elle garde de valable et de dynamique ;
92
ans ce qu’elle garde de valable et de dynamique ;
c’est
dès à présent le ressort de la nouvelle Révolution française. La volo
93
, ce n’est pas une classe que nous devons sauver,
c’est
l’homme menacé dans son intégrité. Sauver l’homme, ce n’est pas sauve
94
les hommes de ce temps n’aiment pas répondre, car
c’est
une question personnelle. Une mise en question réelle. Je la cherche.
95
crois, de L’Ordre nouveau, de Combat ou d’Esprit)
c’est
une violence spirituelle qui existe déjà au-delà des bouleversements
96
nous que notre volonté de sacrifice, de pauvreté.
C’est
dangereux, c’est grave de penser juste. La vérité ne peut exister par
97
lonté de sacrifice, de pauvreté. C’est dangereux,
c’est
grave de penser juste. La vérité ne peut exister parmi nous que sous
98
e qu’elle aborde au cours de ses démonstrations :
c’est
dire qu’elle se meut en pleine poésie. D’où sa valeur « actuelle » et
99
étail ce que l’on vient de louer dans l’ensemble.
C’est
la même précision savoureuse dans le rendu de l’esprit d’un texte, ma
100
Qu’on ait pris Ramuz pour un « régionaliste »,
c’est
une de ces méprises qui peuvent servir à déterminer le niveau d’une c
101
ses ont de nouveau leur sens. Ramuz parle de lui,
c’est
la première fois. Et c’est à peine de lui. Dix petites pages émouvant
102
s. Ramuz parle de lui, c’est la première fois. Et
c’est
à peine de lui. Dix petites pages émouvantes, d’une confidence encore
103
n de conscience. S’il s’interroge, dans Une Main,
c’est
plutôt un examen de son corps. Examen forcé d’ailleurs, interrogation
104
itation d’un esprit dépourvu de prises sensibles.
C’est
un état d’âme qui caractérise assez bien le monde moderne, le monde d
105
rd’hui : la démoralisation. Démoraliser un homme,
c’est
le priver de son pouvoir créateur. C’est le priver de sa main, — ou a
106
n homme, c’est le priver de son pouvoir créateur.
C’est
le priver de sa main, — ou asservir cette main. Est-ce que ma main n’
107
irement dans les cadres d’une dogmatique morale :
c’est
plutôt qu’il suit Saint-Évremond de trop près dans les méandres de so
108
t elles constituent probablement l’unique remède.
C’est
comme la genèse individuelle et religieuse de ce fait trop actuel, qu
109
s une telle œuvre. Le sujet de Taille de l’Homme,
c’est
en effet l’opposition cosmique du monde marxiste et du monde chrétien
110
ais ce qu’il décrit avec une véritable puissance,
c’est
l’aboutissement du marxisme : l’isolement cosmique de l’homme. Quoi q
111
d’être calculables ont très probablement raison :
c’est
une constatation de décès spirituel, à peine anticipée peut-être. Mai
112
»29, mais ce n’est plus qu’un conformisme d’État.
C’est
, à peu près, l’ukase en moins, ce qui s’est passé chez les bourgeois,
113
u sujet du mot « esprit ».) Le vrai matérialiste,
c’est
Ramuz. Parce qu’il aime les choses et déteste les mécaniques interpos
114
l’homme et le suppose en même temps », écrit-il.
C’est
lorsqu’il définit ainsi la foi qu’on hésite à le suivre, — et que peu
115
ps le sauve dans ses limites, ici et maintenant ?
C’est
là le sens de l’Incarnation, en même temps que de la véritable transc
116
en même temps que de la véritable transcendance.
C’est
là le point de la rupture avec tout humanisme imaginable (l’homme sau
117
imantes pour qu’il puisse songer même à résister.
C’est
ainsi une suspension du jugement qui est tout le drame du Procès. Con
118
ciation, de toute prise de parti, — de tout acte.
C’est
ce qu’on pourrait appeler la vision métaphysique. Tous les efforts de
119
le Christ. « Nul ne vient au Père que par moi ».
C’est
par le Fils que Dieu devient pour nous le Père ; mais alors, l’acquit
120
homme de marcher, d’échapper à l’« arrêt » ; mais
c’est
aussi par cette foi, et parce qu’elle nous permet de faire un pas et
121
es faits : voilà bien le désordre où nous vivons.
C’est
une anarchie sémantique. On me fait observer que l’opposition n’est p
122
ort ? — Certes, il a tort disent les gauches ; et
c’est
à cause de la mystique. Et Staline, disent les droites, a tort : car
123
, — qui sont la guerre et l’étatisme totalitaire.
C’est
très simple. Trop simple, sans doute ? q. Rougemont Denis de, « Ni
124
té ». Rajeunir son corps et son âme par l’ordure,
c’est
un des thèmes favoris de notre temps. Mais combien, parmi nous, se so
125
e de faits. J’en viens au petit livre de Gundolf.
C’est
l’œuvre synthétique d’un philosophe des formes culturelles, plutôt qu
126
de Paracelse n’est pas une superstition de devin,
c’est
une science de la guérison fondée sur le principe hippocratique des s
127
l’époque qui nous offre de si grandes chances. Et
c’est
une ère favorable qui s’ouvre, celle où l’esprit se remet à chercher
128
e celle de « réaliser » la philosophie. Réaliser,
c’est
s’engager dans l’aventure politique ou religieuse. Au grand Hegel qui
129
de la médiation. Mais ce qui me paraît important,
c’est
que Löwith dégage puissamment l’origine philosophique du conflit qui
130
me constitutive de l’humain, certains pensent que
c’est
aujourd’hui l’attitude personnaliste. Les pages qu’Alexandre Marc con
131
Daumal sur les Limites du langage philosophique.
C’est
une recherche des conditions d’activité de l’imagerie philosophique,
132
ident dans la restauration d’un langage efficace.
C’est
dire l’intérêt, au sens fort, de l’apport des poètes à la philosophie
133
plaisir le plus vif que réserve ce genre d’écrit,
c’est
de nous laisser lire dans le jeu d’un être humain : rien ne flatte mi
134
tout en restant d’une exacte pudeur. Mais enfin,
c’est
tout de même pour Lawrence qu’on lit ces dames. Pour quel Lawrence ?
135
’une journée de Lawrence dans son ranch mexicain (
c’est
à Lawrence que Brett dit « vous » tout le long du livre) : Jour de l
136
ony. Vous répondez avec force et chaleur : « Oui,
c’est
vrai, on ne devrait pas les lui dire » et vous soupirez profondément.
137
ins, vous frottez les vieilles planches pourries.
C’est
cette vision de vous ainsi qui m’a fait peindre ces planchers, des an
138
e page, et qu’on retrouve dans toutes les autres,
c’est
la mauvaise humeur des Lawrence, leur humeur rageuse, faut-il dire, c
139
ractéristique générale des hommes d’aujourd’hui :
c’est
qu’ils croient au bonheur et à l’argent, les deux choses les plus irr
140
Car le prochain selon la définition évangélique,
c’est
justement celui qui « exige » de l’aide et auquel on vient en aide. A
141
rence à la recherche de sa communauté solaire !34
C’est
son meilleur prétexte à fuir les hommes. Mais après tout, qui donc vi
142
t tout d’un coup les pousse par-derrière, et rit.
C’est
un long enfant maigre au regard narquois et inquiet, et qui s’est mis
143
x en soi la religion solaire que prêche Lawrence.
C’est
un rêve de compensation. C’est l’expression de son impuissance à réso
144
e prêche Lawrence. C’est un rêve de compensation.
C’est
l’expression de son impuissance à résoudre ce que j’appellerais le «
145
e siècle, par Jean Chuzeville (octobre 1935)u
C’est
une entreprise incertaine que celle d’offrir à la curiosité moderne l
146
re optique actuelle doit fatalement les déformer.
C’est
qu’elle est généralement conditionnée par notre romantisme littéraire
147
limitation de l’homme au temporel. La foi réelle,
c’est
la puissance active de l’Éternel dans ce temps. Cette définition cond
148
. 35. Ce que je pardonne moins à M. Chuzeville,
c’est
d’écrire que Paracelse « était de nature comédienne, et savait à l’oc
149
elqu’un qui est bien content, dans cette affaire,
c’est
le journaliste allemand qui la raconte, et qui ne manque pas de félic
150
dirait une « histoire idiote ». Tout y est faux.
C’est
incroyable à quel point cela ressemble à la plupart des entretiens d’
151
ou d’homme de droite. D’abord « impérialisme » :
c’est
sans nul doute « nationalisme » que voulait dire l’inspecteur (à moin
152
les régimes fascistes). « Orgueil patriotique » —
c’est
de nouveau nationaliste qu’il faudrait. Précisons, cela en vaut la pe
153
. Le nationalisme existe parce qu’on l’enseigne ;
c’est
une mystique, un idéal abstrait, un orgueil. Il existe dans la mesure
154
te dans la mesure où on l’exalte. Le patriotisme,
c’est
le contraire : il existe dans la seule mesure où il va de soi ; il fa
155
courante, qui est celle du libéral rationaliste,
c’est
de croire que la proposition « l’Angleterre est le plus beau pays du
156
pays du monde » comporte un sens rationnel ; que
c’est
un jugement qui conclut d’une comparaison. Mais en réalité, lorsque l
157
ce pays plus de beauté que dans tel et tel autre.
C’est
tout au contraire exprimer un refus pur et simple de comparer. C’est
158
aire exprimer un refus pur et simple de comparer.
C’est
affirmer une préférence inconditionnelle. C’est reconnaître et accept
159
. C’est affirmer une préférence inconditionnelle.
C’est
reconnaître et accepter le fait concret d’un attachement qui ne compo
160
ionalisation mensongère du sentiment patriotique.
C’est
l’intervention abusive de la raison comparative dans le domaine de l’
161
e-ci : « Chaque pays est le plus beau du monde ».
C’est
la formule fédéraliste. — Inutile d’ajouter que le salut temporel de
162
liberté pour assurer l’ordre et le pain du corps (
c’est
le principe !). La liberté condamne la dictature, mais dès qu’elle la
163
anarchie. La solution de ce conflit est évidente,
c’est
peut-être pourquoi bien peu l’ont vue jusqu’à présent : elle « crève
164
ve les yeux ». Il faut organiser la liberté. Mais
c’est
encore là une ellipse ; l’on dira qu’une liberté organisée n’en est p
165
Ceci admis, et comment ne point l’admettre — mais
c’est
admettre la révolution — se posent toutes les questions « pratiques »
166
effrayante lucidité, l’universalité de cet état,
c’est
aussi que pour lui, le désespoir est le péché, la seule maladie vraim
167
e romantisme et l’anarchie, etc. La subjectivité,
c’est
le fait de devenir le sujet de la vérité, et non pas seulement son ad
168
iaste. On dirait, dans le langage d’aujourd’hui :
c’est
le fait de réaliser la vérité que l’on connaît ; ou encore, de la pre
169
ourir pour la vérité », étant lui-même la vérité.
C’est
pourquoi l’acte de foi, qui saisit dans ce temps l’éternel paradoxe d
170
» Oui, cette question est gênante et sérieuse, et
c’est
pourquoi il fallait la poser. Et c’est aussi pourquoi je la retourne
171
rieuse, et c’est pourquoi il fallait la poser. Et
c’est
aussi pourquoi je la retourne à son auteur. Mais peut-on y répondre p
172
bénéfice du maladroit, s’il est aimable. Ou bien
c’est
l’ornement de nos loisirs. Mais Claudel dit : l’art poétique est art
173
ques rayons d’in-octavos. Mais Claudel : « Vivre,
c’est
connaître », « Se connaître, c’est faire naître avec soi »… Il ne s’a
174
del : « Vivre, c’est connaître », « Se connaître,
c’est
faire naître avec soi »… Il ne s’agit évidemment, ici et là, ni de la
175
ngue d’un poète aux divers jargons de son temps :
c’est
que l’une est une langue « avertie », posant un perpétuel avertisseme
176
vient presque indéfinissable (plus rien n’avance,
c’est
un sur-place exaspérant, tous les moteurs sont débrayés) ce sens part
177
de se faire copieusement houspiller. Et pourtant,
c’est
lui seul qui détient la méthode efficace pour en sortir. Mais quitton
178
ute la création vers son achèvement intelligible,
c’est
là vraiment « poétiser », collaborer à l’ouvrage de Dieu, et recréer
179
’ouvrage de Dieu, et recréer la catholicité. Mais
c’est
aussi, dans le monde d’aujourd’hui, se condamner à n’être pas compris
180
ne connaît pas de lois mais seulement des formes.
C’est
un monde en recréation perpétuelle, et tout s’y tient parce que chaqu
181
sition de l’image, le mot qui profère son sens. »
C’est
un univers du discours, où les objets qui « veulent dire » s’assemble
182
inel. Rompre le lien de l’homme avec son origine,
c’est
rompre aussi sa communion avec la fin universelle. Alors l’homme se c
183
e et s’abstrait du mouvement de la Création. « Et
c’est
pourquoi une fin lui fut en effet donnée » — qui est sa mort. Mais l’
184
la charité cosmique du chrétien (identiquement),
c’est
alors d’embrasser d’un seul geste, de réunir, de relancer vers sa vra
185
cines matérielles aux dérivés les plus exsangues,
c’est
rénover l’action cosmique de la parole. Comment cela ? « Le mot appel
186
les formes selon l’intention qu’elles expriment,
c’est
proprement penser avec les mains. ⁂ Au sixième jour de sa Semaine, Du
187
au lieu d’une formule faite, d’un terme abstrait.
C’est
le style du livre de Job. aa. Rougemont Denis de, « [Compte rendu]
188
Une idée de Law (janvier 1937)ab
C’est
dans les Œuvres de Law qu’on trouve cette remarque hardie : La victoi
189
France une armée qui coûte 100 millions par an ;
c’est
2 milliards pour vingt ans. Nous n’avons pas plus de cinq ans de guer
190
Un Anglais estimait un homme 480 livres sterling.
C’est
la plus forte évaluation, et ils ne sont pas tous aussi chers, comme
191
lculs, l’on voit qu’en vérité, ce qui nous ruine,
c’est
bien l’honneur — le budget de l’honneur — et non pas je ne sais quels
192
procher aux précédents ouvrages de l’auteur. Mais
c’est
la méthode qui doit retenir ici : il s’agissait pour Mounier de fonde
193
les communistes placent l’homme ». Et enfin que «
c’est
à l’Esprit que le parti communiste français fait confiance pour l’aid
194
océan maussade et les pauvres rivages du détroit,
c’est
fort apparemment que je n’avais rien de mieux à faire. J’étais chômeu
195
core faut-il savoir comment on y peut « vivre » ?
C’est
à cette question judicieuse que j’ai voulu répondre. Début de novem
196
aire de mon domaine. Je ne suis pas propriétaire,
c’est
entendu. Je ne possède légalement que des valises, de quoi me vêtir,
197
ême avoir l’usage éventuel de quelque chose. Mais
c’est
user en fait de cette chose-là. C’est donc un acte et pas du tout un
198
chose. Mais c’est user en fait de cette chose-là.
C’est
donc un acte et pas du tout un droit. Et ce n’est pas une sécurité, n
199
her de se délivrer coûte que coûte.) Mon domaine,
c’est
ce que j’ai sous la main. Voici d’abord la table que je me suis fabri
200
its précis qui me paraîtront frappants ici ou là,
c’est
une sorte de contrôle amusant et utile — pour plus tard — et c’est un
201
e contrôle amusant et utile — pour plus tard — et
c’est
une bonne discipline de l’esprit que la description objective. Me voi
202
re et solitaire — trois grands mots ! et pourtant
c’est
bien cela — tout au bout d’un pays dénué de ressources, pratiquement
203
croire actuel, dans la littérature ou les idées.
C’est
cela qui paie, et qui m’ennuie. Après quoi, je pourrai travailler. Au
204
e. Après quoi, je pourrai travailler. Aujourd’hui
c’est
le jour du repos. J’ai trouvé au fond d’une armoire, derrière une pil
205
aloir les palmes à son auteur. Le second bouquin,
c’est
l’œuvre d’un vieux médecin tout plein de verve et de gaillarde érudit
206
e qui en dit long sur l’âme de ce peuple discret.
C’est
l’impression que je veux retenir pour le moment des gens d’ici. Elle
207
anifeste l’intention de rester ici tout l’hiver ?
C’est
plutôt en été qu’on vient chez nous, me fait-elle prudemment observer
208
r d’être vu par l’une, entrant chez l’autre. Mais
c’est
prudent, on me l’a dit. Car elles ne baisseront pas leurs prix pour g
209
ce une lettre ? — Non. Est-ce un imprimé ? — Non.
C’est
tapé à la machine. — Est-ce qu’il n’y a rien d’écrit à la main ? Si,
210
à ma table, j’entends grincer la porte du jardin.
C’est
la femme de Pédenaud qui brandit un papier. J’accours : elle me tend
211
e de télégramme, mais ce n’est pas un télégramme,
c’est
une notification officielle d’avoir à verser sans délai la somme de f
212
une lettre. Il faut donc que je m’exécute, sinon
c’est
lui qui sera forcé « d’y aller de sa poche ». Me voilà courant à l’au
213
lle, je ne l’ai même jamais été aussi absolument.
C’est
peut-être à cause du bonheur de notre vie. Trouver son rythme naturel
214
ent quelque chose. Quand je vais chez les Renaud,
c’est
tout le contraire. Ils m’expliquent en détail ce qu’ils font, et je p
215
é concrète dont je ne souffre pas dans ma vanité,
c’est
entendu, mais bien dans mon désir de sympathie humaine, d’échange dir
216
que je viens de nommer. Ils ne se doutent pas que
c’est
de cela précisément qu’un écrivain peut faire sa « spécialité ». Et r
217
? Essayer de confronter la culture et la réalité,
c’est
peut-être prouver qu’on ignore l’une et l’autre ? Ou témoigner d’une
218
ument vain : il y a eu quelques conversions. Mais
c’est
tout juste si elles ont compensé les abandons ou les départs. (Les pr
219
chômeur intellectuel peut encore travailler — et
c’est
cela qui le différencie profondément d’un chômeur industriel, par exe
220
faut pas se mettre en colère au mois de janvier.
C’est
une saison abstraite, on n’atteint presque rien. Le soleil froid à tr
221
aque par désir famélique de créer du nouveau. Car
c’est
une consolation aussi que d’avoir à faire face à quelque catastrophe
222
s nous sauver de cette tentation du désespoir, et
c’est
l’humilité. Si je ne suis pas important, le monde s’agrandit. Je puis
223
elles du monde. Ainsi je me renouvelle lentement.
C’est
un moyen de sortir de l’impasse : non pas en changeant ses données, m
224
prend cette chose nouvelle que nous savions déjà,
c’est
vrai, quand nous étions adolescents, chose nouvelle au goût du souven
225
i agit dans l’attente. Il attend des révélations.
C’est
évident ! Ses actions les plus pures sont des appels et des incantati
226
des heures ce coin réduit de terre caillouteuse,
c’est
pour un printemps qui viendra. C’est pour gagner ma vie, dit une rais
227
aillouteuse, c’est pour un printemps qui viendra.
C’est
pour gagner ma vie, dit une raison borgne ; c’est aussi pour gagner m
228
C’est pour gagner ma vie, dit une raison borgne ;
c’est
aussi pour gagner ma mort, je le sais bien. Toute notre attente imagi
229
trahissent. Si le travail moderne est dégradant,
c’est
qu’on a limité ses gestes à l’immédiat, et borné son attente au salai
230
Recette pour vivre de peu. La première condition
c’est
de gagner peu. (J’ai écrit cela, je me le rappelle, peu de temps aprè
231
age est restée blanche. Et toute réflexion faite,
c’est
bien ainsi, et très complet.) 10 avril Je n’ai pas encore parlé de
232
raiment que cela se tient. Il me semble aussi que
c’est
concret. Je me dis que cette impression et celle de tout à l’heure s’
233
né de Paris », mais au centre de mon domaine ; et
c’est
Paris qui est loin maintenant, peu vraisemblable ; et non plus moi. P
234
ux profondeurs rougeâtres et doucement mouvantes.
C’est
là que nous commençons la pêche. Il faut se planter au centre du bass
235
que nos rapports avec les hommes. Mais attention.
C’est
uniquement s’il y a dans l’homme une vocation surnaturelle, la missio
236
t pas fait pour durer : la vie étale nous ennuie,
c’est
ce qui naît et ce qui meurt qui nous émeut. Cette nuit, avant d’aller
237
prend, l’œil fixe, son travail invisible de mère.
C’est
beau. C’est fascinant. C’est grave et mystérieux, pacifiant comme la
238
fixe, son travail invisible de mère. C’est beau.
C’est
fascinant. C’est grave et mystérieux, pacifiant comme la démonstratio
239
l invisible de mère. C’est beau. C’est fascinant.
C’est
grave et mystérieux, pacifiant comme la démonstration d’une absolue s
240
une fondation littéraire. Il faut d’abord signer,
c’est
recommandé. Ensuite, il faut comprendre : c’est une lettre et un chèq
241
, c’est recommandé. Ensuite, il faut comprendre :
c’est
une lettre et un chèque. C’est un prix. Un prix dont je connaissais t
242
faut comprendre : c’est une lettre et un chèque.
C’est
un prix. Un prix dont je connaissais tout juste le nom. Que je n’aura
243
tre eux. Sur le moment, ce qui m’a le plus frappé
c’est
que je m’étais fâché hier soir, et que la Providence, évidemment, se
244
ais combien de temps, je n’ai pas de montre, mais
c’est
très long. Aucun bruit de voix dans la salle de la caisse. Le client
245
fait passer à côté tout à l’heure. « Vous savez,
c’est
la coutume, ici ils n’aiment pas qu’il y ait d’autres personnes dans
246
nd ils payent ou quand ils touchent de l’argent !
C’est
qu’ils sont très spéciaux les gens d’ici ! Moi je n’y viens qu’une fo
247
mmence à les connaître. Je pourrais vous en dire.
C’est
partout différent, pour l’argent. Si vous prenez N. par exemple (la v
248
. Ils ne se posent pas de questions gênantes. Or,
c’est
mon métier d’en poser… Il vaut mieux partir quand on en est là. Quand
249
e sans fièvre et que je flâne sans vague à l’âme.
C’est
quelque chose. Je ne dis pas que c’est le bonheur, je n’ai jamais trè
250
e à l’âme. C’est quelque chose. Je ne dis pas que
c’est
le bonheur, je n’ai jamais très bien compris ce mot, que tant de gens
251
oucement amoureux de ma vie, et je crois bien que
c’est
un penchant qu’elle agrée. Non point qu’elle me paye en retour de sur
252
se posséder plutôt qu’à se fuir dans les hasards.
C’est
sans doute un effet de la trentaine qui approche : je n’espère plus,
253
’agit seulement d’assurer la prise de cette main.
C’est
l’affaire d’une patience, ou d’une impatience dominée, — et sans dout
254
se confond avec la Charité. Imaginer, à ce degré,
c’est
déjà presque pardonner au monde. C’est le placer sous la lumière fant
255
ce degré, c’est déjà presque pardonner au monde.
C’est
le placer sous la lumière fantastique de la Promesse, au point où tou
256
façon « les riches alternances de la vie ». Mais
c’est
aussi au peuple entier qu’ils ont appris sa gloire quotidienne. Rien
257
s Cavaliers. Ce n’est pas du réalisme socialiste,
c’est
la réalité sociale plus toutes les autres. Et l’amour d’une femme pou
258
grand besoin. Que cela n’aille pas sans risques,
c’est
l’évidence. Mais il s’agit de savoir ce que l’on révère, de la vérité
259
nnel (que ce soit dans le monde ou dans l’esprit)
c’est
que la raison s’est bel et bien risquée et se risque encore dans le c
260
civil. Qu’il ne s’y mêle aucune trace de hargne,
c’est
un miracle qui défie l’époque. M. de Lacretelle, dans sa préface, déc
261
, on ne sait pourquoi, « par représailles ». Puis
c’est
le départ brusqué « pour X… ». Ni raisons ni points de repère : c’est
262
qué « pour X… ». Ni raisons ni points de repère :
c’est
la guerre. C’est un mot sacré. C’est quelque chose qui se passe très
263
Ni raisons ni points de repère : c’est la guerre.
C’est
un mot sacré. C’est quelque chose qui se passe très loin, partout, et
264
de repère : c’est la guerre. C’est un mot sacré.
C’est
quelque chose qui se passe très loin, partout, et qui doit être réel
265
ndent à faire du moindre d’entre nous un prévenu.
C’est
le cauchemar du xxe siècle. Le triomphe de l’État sur l’homme. D’ail
266
urs prédominent, facteurs moraux et psychiques. »
C’est
donc devant sa destinée, et non pas devant Blücher, ce hasard, que l’
267
uvert la vie concrète d’un pays et des êtres dont
c’est
la patrie. Il a conçu les premiers doutes humains sur la réalité de s
268
e cette méditation personnaliste. Car après tout,
c’est
une histoire, un des meilleurs romans de l’année, et qui se fait lire
269
n type d’explication qui me paraît bien tentant :
c’est
le mécanisme du « refoulement » d’où procèdent les « actes manqués ».
270
it un espoir que les accords Matignon trompèrent.
C’est
tout ce que l’Histoire retiendra. Ce fait initial a déterminé la cour
271
ns se l’avouer. Voilà pourquoi personne ne bouge.
C’est
effrayant, cette immobilité devant le péril. La dictature fascine les
272
plexe fasciste, avoué sous le nom d’antifascisme,
c’est
normal. On n’arrête pas une révolution lorsqu’elle est nécessaire, et
273
pas une révolution lorsqu’elle est nécessaire, et
c’est
le cas. Mais il arrive qu’on la dénature en la refoulant trop longtem
274
ment réfutée par un formalisme délirant. Le pire,
c’est
que la plupart des discussions pèchent par l’absence d’un élément de
275
et sur le système qu’elles pratiquaient en fait.
C’est
ainsi que l’Allemagne exigea l’autonomie des Sudètes au nom du droit
276
par le « bon droit » des exigences allemandes. Et
c’est
pourquoi, lorsqu’en septembre 1938, l’Allemagne appuya sa revendicati
277
aux, dont la seule Suisse figurait le microcosme.
C’est
dans cette perspective historique que les événements ultérieurs (colo
278
se ramène, me semble-t-il, à ceci : la religion,
c’est
la pratique moyenne du catholicisme français. Il s’agit moins de la d
279
prit comme celui d’Alain retient du catholicisme,
c’est
donc exactement ce que Kierkegaard, par exemple, rejette au nom de sa
280
d seigneur n’oublie jamais son rang. Son naturel,
c’est
le mépris ; rien n’est plus loin de la nature. Voyez comme il se sert
281
aient pas, il les inventerait pour les violer. Et
c’est
cela qui nous fait pressentir la nature spirituelle de son secret, si
282
à tout prix, quel qu’il soit ? Celui qui cherche,
c’est
qu’il n’a pas ; mais peut-être aussi qu’il n’est pas ? Celui qui a, v
283
ait l’homme qui ne peut pas aimer, parce qu’aimer
c’est
d’abord choisir, et pour choisir il faudrait être, et il n’est pas. M
284
, cet équilibre étant d’ailleurs bon ou mauvais.)
C’est
que le désir de nouveauté et de changement perpétuel, dès que l’espri
285
ce au siècle. Et l’adversaire qu’il s’est choisi,
c’est
l’esprit de lourdeur, notre poids naturel, notre faculté naturelle de
286
emi vigilant de l’instinct : car s’il le glorifie
c’est
par esprit de polémique, c’est qu’il veut forcer la nature autrement
287
r s’il le glorifie c’est par esprit de polémique,
c’est
qu’il veut forcer la nature autrement qu’on ne l’a fait jusqu’à lui.
288
le Dieu moral est réfuté ». Que va dire l’Autre ?
C’est
, dans la vie du Don Juan des vérités, l’heure de l’invitation au Comm
289
la nuit désertique des hauteurs. Une aube vient.
C’est
encore l’aube de la terre. Personne n’a parlé. Dieu est mort ! De cha
290
âtir un système qu’il réfute, dénonce et détruit,
c’est
pour la joie du viol intellectuel. Comme Don Juan l’image de la Mère,
291
i cède, toute l’impudeur et la lourdeur du monde.
C’est
au point de fureur dionysiaque où la joie de détruire devient douleur
292
ement à cette minute, à cet instant ! L’Éternité,
c’est
le retour des temps ; et non pas la victoire sur le temps… Mais dans
293
emps, disait-il, Dieu est mort. Si Dieu est mort,
c’est
donc qu’il a vécu ? Dieu revivra éternellement ! Ainsi Nietzsche devi
294
Don Juan, tricheur, aime sans amour. S’il gagne,
c’est
en violant la vérité des êtres. Nietzsche pose des valeurs qui détrui
295
lus tricher). Voici peut-être la clé du mystère :
c’est
qu’en respectant toutes les règles, nous ne pourrons jamais que perdr
296
es qualités requises du pur et simple philologue.
C’est
une vision du monde, et des rapports du monde à l’homme, qu’il s’agit
297
dans le jeu des symboles et des correspondances.
C’est
l’ambition que refoulera trop aisément notre âge classique, et que re
298
vers ». Voilà de la belle érudition qui signifie.
C’est
une manière de poésie que bien peu savent allier à tant de science.
299
dés, rythme, idées ou lyrisme —, mais bien plutôt
c’est
la complexité secrètement significative de l’ensemble. Pour qualifier
300
Et cependant, « donner de soi une idée fausse »,
c’est
bien ce que devait éviter Gide, plus jalousement qu’aucun autre. Est-
301
ntifs aux défauts réguliers de tout autoportrait.
C’est
nous donner le moyen d’y porter nos retouches. ⁂ Parfois, le secret d
302
d’une vérité indirecte, et parfois même négative.
C’est
moins la vie vécue qui s’y traduit, que le désir de compenser ou de p
303
rer dans l’église], ce n’est pas la libre pensée,
c’est
l’Évangile. » Mais n’y a-t-il pas, à l’origine de ce refus de toute é
304
nts. Tout ce que je me sens le droit de dire ici,
c’est
que la Réforme a rejeté les prétentions du pape de Rome non par dégoû
305
« idées » en soi, et de l’information méthodique.
C’est
par là que je sens le mieux la distance qui sépare de la sienne ma gé
306
dre de l’éthique, que dans celui de l’esthétique.
C’est
le maître-artisan de la langue, plus que l’immoraliste, qui nous impo
307
essant dans un recueil de mélanges ou d’hommages,
c’est
en général le sommaire : cette fois encore. Voici le noyau des premie
308
e approfondi rejoint l’universel par les racines.
C’est
, comme ils disent, de la vraie « culture ». Il faut mettre hors de pa
309
illé et simplifié, cet œil halluciné par le réel,
c’est
tout l’art de Ramuz exposé. Ici, tout le mystère se mue en forme et e
310
nds mal) : « Vous cherchez un studio ? » — « Oui,
c’est
exactement ce qu’il me faut. » Il a l’air étonné, puis amusé. Et, sou
311
amusé. Et, soudain, en se levant : « Eh bien ! si
c’est
ainsi, allons le voir de ce pas, voulez-vous ? » Alors, seulement, je
312
Tout cela s’est arrangé si soudainement, dit-il,
c’est
inquiétant. Cela me ferait presque croire à la Providence !… Mais dit
313
dre. Finalement, Gide en riant : « On va dire que
c’est
un complot de protestants ! » Le mot ne manque pas de pertinence. Tou
314
te puisse avoir un sens. Le protestant, pour lui,
c’est
l’opposant. (Comme on le croit généralement en France.) Les gênes féc
315
me libéral de la fin du xixe siècle ? » — « Oui,
c’est
assez cela, la position du pasteur Roberty, que j’aimais bien. » Vite
316
r un seul de ces entretiens, j’ai pris des notes.
C’est
celui du 20 juin. J’avais eu l’impression ce jour-là que Gide passait
317
ant plus pur que rien de charnel ne s’y mêlait. «
C’est
ainsi que je me suis complètement blousé », répète-t-il en accentuant
318
. Ce qui l’a souvent frappé chez bien des femmes,
c’est
leur manière « de s’offusquer du désir de l’homme ». Plusieurs, marié
319
ses propos.) Et, subitement, après un silence : «
C’est
ainsi que j’ai commis, à cette époque — je parle de mon premier séjou
320
dernière réponse : « L’originalité du Bipède. » (
C’est
ainsi qu’on l’appelait dans ce groupe.) Gide s’éclaircit la voix pour
321
aigne. (Je ne nie pas un instant son lyrisme.) Et
c’est
ainsi qu’il réussit à remplacer le tragique par la perplexité. Tout c
322
’évolution de Gide. Ce qui l’a vraiment torturé,
c’est
l’éthique, non le religieux ; la justice et non le salut ; ce que l’o
323
fatales et collectives interprétées par un Parti.
C’est
pourquoi le problème religieux, tel qu’il se pose au monde christiani
324
es, n’a cessé d’occuper sa pensée. Et j’ignore si
c’est
mal ou bien : je constate simplement le phénomène. Je ne tiens pas la
325
séance, et ne sont pas de l’ordre des mérites. Et
c’est
pourquoi il est écrit : « Ne jugez pas ! » J’avoue que je comprends m
326
notre parti, et qu’il n’est pas le premier venu.
C’est
usurper la place du Juge, ou mêler vanités et salut. Si Gide a refusé
327
salut. Si Gide a refusé totalement quelque chose,
c’est
justement le totalitarisme, qui est l’esprit de parti logiquement dév
328
x toutes dernières nouvelles — qui dira mieux ? —
c’est
au moins six-cent-mille qu’il conviendrait d’admettre. Centupler brus
329
est victoire sur le temps comme sur la mort. Mais
c’est
bien à partir de là que les hommes touchés par le message évangélique
330
mythes du temps cyclique et de l’éternel retour,
c’est
parce que l’homme a peur du temps. Voilà le fait fondamental. Car le
331
elle prend un sens exemplaire dans le Mythe, mais
c’est
le temps lui-même qui perd sa réalité, puisqu’il n’apporte plus d’abs
332
e », ou plus familièrement « Plus ça change, plus
c’est
la même chose. ») L’irruption dans ce monde des religions antiques du
333
u, la nouveauté totale, proprement impensable. Et
c’est
bien dans ces termes que saint Paul la présente. Que Dieu se soit man
334
thifier le Christ en niant sa parfaite humanité :
c’est
l’intention commune à toutes les hérésies gnostiques, manichéennes ou
335
e l’idée d’un temps vidé de rythmes et de mythes,
c’est
la croyance à la Fin imminente : encore « un peu de temps » et le Chr
336
ns le sens du risque, mais dans celui des normes.
C’est
une vision réduite et limitée de l’Histoire qui lui permet de rendre
337
ent noyés que personne n’a le souci de les dater.
C’est
un mouvement exactement contraire qui s’est produit dans l’Occident m
338
« car nous ne savons ni le jour ni l’heure ». Et
c’est
pourquoi le progrès de la vision historique, loin de séculariser le c
339
ours de la réalité, où ce qu’il y a de plus réel,
c’est
le cours même. Et comme ce mouvement pur « doit » être dépourvu d’ori
340
homme, il n’est donc plus question de demander si
c’est
« vrai ». C’est « dans le sens de l’Histoire », ou ce n’est rien qui
341
donc plus question de demander si c’est « vrai ».
C’est
« dans le sens de l’Histoire », ou ce n’est rien qui vaille… Suis-je
342
intelligentsia comme dans les masses modernes, et
c’est
sur lui que les dictatures totalitaires fondent leur pouvoir. Le droi
343
le distinguer. Je ne suis plus responsable, mais
c’est
l’Évolution, et je n’ai plus d’autre choix que de m’en dire l’agent.
344
e ses propres martyrs fut la semence de l’Église,
c’est
le sang des « païens », le sang des autres, qui cimente l’édifice de
345
tre angoisse devant le temps. Anticiper l’avenir,
c’est
tenter de se convaincre que le temps ne va pas apporter la négation d
346
oi-même et du sens de ma vie. Anticiper l’avenir,
c’est
le dernier refus de l’aventure du temps — la fuite dans l’utopie. Uto
347
ers chrétiens, mais elle en reste tributaire — et
c’est
pourquoi l’Orient ne produit pas d’utopies. Concevoir une utopie et a
348
elle, massacrer pour hâter sa venue bienfaisante,
c’est
projeter notre angoisse en avant, pour tenter d’asservir l’imprévu. B
349
s le Tiers Monde, ce n’est pas ce dont il vivait,
c’est
ce qui manquait à nos élites, ou qu’elles ne savaient plus trouver da
350
s l’individu naturel. Pour Descartes, le vrai moi
c’est
« l’âme », mais il s’agit d’une âme tout intellectuelle, dont « la na
351
Christ en Dieu » jusqu’à l’avènement de l’Amour ?
C’est
l’Ange, répond l’Iran des spirituels, l’Iran du mazdéisme et des myst
352
e d’âmes une sollicitude et tendresse spéciales ;
c’est
lui qui les initie à la connaissance, les protège, les guide, les déf
353
es défend, les réconforte, les fait triompher, et
c’est
cet être qu’ils appelaient Nature parfaite. » C’est le vrai moi, c’es
354
est cet être qu’ils appelaient Nature parfaite. »
C’est
le vrai moi, c’est l’Ange. « Il ne s’agit plus du simple messager tra
355
appelaient Nature parfaite. » C’est le vrai moi,
c’est
l’Ange. « Il ne s’agit plus du simple messager transmettant les ordre
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e sous laquelle Dieu se révèle à soi-même en lui.
C’est
la “part allotie” à chaque Spirituel, son individualité absolue, le N
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de la troisième nuit qui suit la mort terrestre :
c’est
la rencontre de l’âme avec son moi céleste à l’entrée du pont Chinvat
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erre a maltraité son moi, au lieu de la Fravarti,
c’est
une apparition monstrueuse et défigurée qui reflète son état déchu. L
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s s’il est une croyance qu’ils ont tous en commun
c’est
la croyance à la métempsycose, à la transmigration des âmes. Or elle
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dre, les croyances populaires de leurs contrées ;
c’est
bien plutôt à notre idée de la personne qu’ils opposent leur idée du
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disent les autres. Non, répondent les advaïtins :
c’est
Brahma ou ce n’est rien. Et tu n’es rien. Et de leur côté les bouddhi
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ation, peut-il y avoir une réincarnation ? — Oui,
c’est
possible. » Voici l’explication : « Le Roi dit : Nagasena, y a-t-il q
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u Vide. Leur satori est le contraire du samadhi :
c’est
un éveil instantané. Éveil de quoi ? De la vision-en-soi, du Cela qui
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Dieu, la Vérité ; ce que zen demande au disciple,
c’est
de voir sa propre Physionomie. » Or comme le disait le sixième Patria
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croyait. Si nous souhaitons préciser leur nature,
c’est
dans les notions de l’amour traduisant ces trois conceptions, que nou
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er moteur non seulement de l’homme mais du monde,
c’est
son action qui configure l’idée du moi que nous nous faisons, et cett
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tome traduit certaines propriétés de l’énergie. «
C’est
l’amour dominant qui fait l’homme… L’homme est absolument tel qu’est
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uel et se laisse transformer, réorienter par lui.
C’est
le vrai moi qui aime, qui est l’agent de l’amour. Ce vrai moi seul pe
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ul il discerne en l’autre le même amour. « Aimer,
c’est
soutenir, deviner, porter le meilleur de ce qu’on aime », disait Alai
370
n singulière. Aimer le prochain dans sa personne,
c’est
discerner sa singularité, sa vocation, même virtuelle, la soutenir et
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Dieu nous a aimés le premier. » Pour le chrétien,
c’est
parce que Dieu, qui est Amour, est un Dieu personnel, dans sa tri-uni
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eux qu’il aime. » Se sacrifier pour l’autre aimé,
c’est
d’abord sacrifier son moi à son vrai moi, — l’ordonner à sa vocation.
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oi à son vrai moi, — l’ordonner à sa vocation. Ou
c’est
encore se sacrifier tel que l’on est, à soi-même tel qu’on va le deve
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à soi-même tel qu’on va le devenir par l’esprit.
C’est
rejoindre la forme immortelle de son être au travers d’une « mort à s
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omme signe et symbole de la « prison » du moi. Et
c’est
que l’âme avait rêvé d’une métamorphose angélique, quand l’esprit lui
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citation, par le défi perpétuel aux attachements.
C’est
la liberté négative revendiquée par Don Juan contre les conventions d
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is, et pour cause. Si je les fais intervenir ici,
c’est
à titre d’évocation d’une dimension virtuelle, intemporelle, et donc
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ir en elle l’objet de sa propre connaissance.75 »
C’est
donc en Dieu que tout amour peut reconnaître la personne de l’autre e
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re aimé, par l’efficace de son amour préfigurant.
C’est
précisément là que s’origine la plus haute fonction de l’amour humain
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uprême et au degré le plus éminent, le Prochain ;
c’est
donc d’après lui que s’établissent toutes les distinctions relatives
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chez deux personnes un bien absolument identique…
C’est
l’amour qui fait le prochain, et chacun est le prochain selon la qual
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, dont Iseut ne serait que l’image sensible, — et
c’est
pourquoi j’ai osé dire que Tristan n’aimait pas Iseut — cette passion
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de la forêt du Morois en viennent à découvrir que
c’est
leur passion même qui exige leur séparation, parce que « leur engagem
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parfait est celui dont l’objet n’est pas limité.
C’est
cet amour qui est l’amour pur, l’amour de l’amour même, l’amour de l’
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plaisir érotique, est vénéré par les yogis, « car
c’est
lui seul, lorsqu’il est satisfait, qui peut libérer l’esprit du désir
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oie, son « svadharma », sa religion particulière.
C’est
pourquoi nos contradictions restent si farouchement liées au dogme, t
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définitions. Mais je retrouve ici mon expérience.
C’est
seulement à partir de là que nos questions deviennent capables de rép
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i, touche à sa fin ?) Je disais que l’amour vrai,
c’est
discerner dans l’autre — pour l’avoir reconnu tout d’abord en soi-mêm
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Non, ce serait là trop dire, et pas assez. Aimer,
c’est
aider l’autre à se situer de telle manière que la lumière se voie en
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ser, mais transmuter, transfigurer ! Aimer mieux,
c’est
apprendre à discerner la raison d’être — donc d’être unique — de l’au
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ce que jamais on ne verra deux fois ! » — Aimer,
c’est
vouloir l’immortel, non l’éphémère, lequel n’a rien en soi qui mérite
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r et les structures de l’énergie universelle. Car
c’est
au secret des personnes que nous tentons d’écouter la Personne, mais
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nnes que nous tentons d’écouter la Personne, mais
c’est
dans la matière que nous cherchons le Soi. La création tout entière,
394
ue d’un soufi : « Le paradis du gnostique fidèle,
c’est
son corps même, et l’enfer de l’homme sans foi ni connaissance c’est
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e, et l’enfer de l’homme sans foi ni connaissance
c’est
également son corps même. » (Cit. par H. Corbin, Terre céleste, p. 16
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Jérusalem et sa doctrine céleste, § 86 à 89. 81.
C’est
à peu près ce que Freud nomme « narcissisme », et qui n’est tel qu’au
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et de rigueur l’Est et l’Ouest. Lire aussi, mais
c’est
beaucoup moins tendre pour les deux, c’est même féroce, le chef-d’œuv
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, mais c’est beaucoup moins tendre pour les deux,
c’est
même féroce, le chef-d’œuvre d’Henri Michaux, Un Barbare en Asie. Lir