1 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
1 re du Royaume », dès maintenant « portant l’image céleste  », « glorifiée », « revêtue de lumière », d’incorruptibilité et d’imm
2 anière plus précise dans l’homologie, ces entités célestes , féminines, que la religion de Zarathoustra nommait les Fravartis, « 
3 e à Ohrmazd) et qui sont à la fois les archétypes célestes des êtres et leurs anges tutélaires. Il y a plus : selon le mazdéisme
4 restre : c’est la rencontre de l’âme avec son moi céleste à l’entrée du pont Chinvat. Dans un paysage nimbé de la Lumière-de-Gl
5 décor de montagnes flamboyant aux aurores, d’eaux célestes où croissent les plantes d’immortalité », au centre du monde spiritue
6 entrée, se dresse devant l’âme sa Dâenâ, son moi céleste , jeune femme d’une beauté resplendissante et qui lui dit : — Je suis
7 état déchu. La « rencontre aurorale » avec le moi céleste figure donc une pesée des âmes. Le mazdéisme, comme plus tard les sou
8 ux exigences du vrai moi, qui est notre répondant céleste . Et faut-il qu’il existe et qu’il soit fort, ce moi qu’on répute illu
9 les termes à la fois dans le surnaturel (ou monde céleste ) et dans le sensible terrestre, la structure des relations entre Dieu
10 50. 62. Ibid., p. 131. 63. Henry Corbin, Terre céleste et corps de résurrection, 1960, p. 31. 64. Sur les solutions proposé
11 ment son corps même. » (Cit. par H. Corbin, Terre céleste , p. 161.) 74. Aurore, 517. 75. Henry Corbin, L’Imagination créatri
12 Swedenborg, La Nouvelle Jérusalem et sa doctrine céleste , § 86 à 89. 81. C’est à peu près ce que Freud nomme « narcissisme »,