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re du Royaume », dès maintenant « portant l’image
céleste
», « glorifiée », « revêtue de lumière », d’incorruptibilité et d’imm
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anière plus précise dans l’homologie, ces entités
célestes
, féminines, que la religion de Zarathoustra nommait les Fravartis, «
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e à Ohrmazd) et qui sont à la fois les archétypes
célestes
des êtres et leurs anges tutélaires. Il y a plus : selon le mazdéisme
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restre : c’est la rencontre de l’âme avec son moi
céleste
à l’entrée du pont Chinvat. Dans un paysage nimbé de la Lumière-de-Gl
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décor de montagnes flamboyant aux aurores, d’eaux
célestes
où croissent les plantes d’immortalité », au centre du monde spiritue
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entrée, se dresse devant l’âme sa Dâenâ, son moi
céleste
, jeune femme d’une beauté resplendissante et qui lui dit : — Je suis
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état déchu. La « rencontre aurorale » avec le moi
céleste
figure donc une pesée des âmes. Le mazdéisme, comme plus tard les sou
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ux exigences du vrai moi, qui est notre répondant
céleste
. Et faut-il qu’il existe et qu’il soit fort, ce moi qu’on répute illu
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les termes à la fois dans le surnaturel (ou monde
céleste
) et dans le sensible terrestre, la structure des relations entre Dieu
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50. 62. Ibid., p. 131. 63. Henry Corbin, Terre
céleste
et corps de résurrection, 1960, p. 31. 64. Sur les solutions proposé
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ment son corps même. » (Cit. par H. Corbin, Terre
céleste
, p. 161.) 74. Aurore, 517. 75. Henry Corbin, L’Imagination créatri
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Swedenborg, La Nouvelle Jérusalem et sa doctrine
céleste
, § 86 à 89. 81. C’est à peu près ce que Freud nomme « narcissisme »,