1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Éloge de l’imprudence, par Marcel Jouhandeau (septembre 1932)
1 ironique dialectique de Jouhandeau est-elle très catholique , ou même très chrétienne ? La dialectique paulinienne postule que bie
2 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). L’Art poétique ou Qu’il faut penser avec les mains (décembre 1936)
2 ndamner à n’être pas compris. Paradoxe d’un génie catholique , isolé de la foule des hommes, par ce qui manifeste, justement, sa vo
3 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). De la propriété capitaliste à la propriété humaine et Manifeste au service du personnalisme, par Emmanuel Mounier (février 1937)
3 héorie personnaliste de l’avoir sur les doctrines catholiques les plus solides à cet égard, celles de Thomas d’Aquin et de Cajetan.
4 avaient obnubilées, et que la grande majorité des catholiques d’aujourd’hui ignore avec persévérance. À vrai dire, nul mieux que l’
5 ications qu’il va demander à certaines traditions catholiques . Ainsi « le riche, dit Bossuet, n’est toléré dans l’Église que pour s
6 l’usure, suivant l’erreur fréquente des écrivains catholiques . Marx a bien montré que l’usure n’est qu’un facteur secondaire, et tr
4 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
7 subit. Fils d’un petit hôtelier breton d’origine catholique , il s’est converti à l’âge de vingt ans et depuis lors il n’a jamais
5 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Propos sur la religion, par Alain (avril 1939)
8 encombre une bonne part de la théologie, surtout catholique . Tout cela, je le crains, relève d’un malentendu, courant sur le sens
6 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
9 ent, presque nécessairement, à la sollicitude des catholiques . Gide fut élevé dans un milieu où la religion paraissait se réduire à
10 rit autant que sur le doute. (Il cite ce mot d’un catholique à un pasteur : « Vous, vous croyez, mais nous savons ! ») Ceci expliq
11 on trop « facile ». « Je ne suis ni protestant ni catholique , je suis chrétien tout simplement. » Position caractéristique du prot
12 ne de ce refus de toute église (tant reformée que catholique ), un attachement à sa vérité propre qui est moins évangélique qu’indi