1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Éloge de l’imprudence, par Marcel Jouhandeau (septembre 1932)
1 istence le mal et le bien conservent toutes leurs chances d’être préférés, et toutes leurs tentations. En sorte que l’apologie
2 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
2   Nous sommes une génération comblée. Comblée de chances de grandeur, et comblée de risques mortels. Pour la jeunesse de 1932,
3 a guerre soit, comme l’écrit Lefebvre, la seule «  chance  » des capitalistes. Il en est une moins coûteuse à risquer et qui con
4 oi. Un tel mysticisme a-t-il en France la moindre chance de succès ? Où est sa tradition vivante en ce pays ? La violence des
3 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Paracelse, par Frédéric Gundolf (septembre 1935)
5 e et folle, l’époque qui nous offre de si grandes chances . Et c’est une ère favorable qui s’ouvre, celle où l’esprit se remet à
4 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Lawrence et Brett par Dorothy Brett ; Matinées mexicaines suivi de Pansies (poèmes), par D. H. Lawrence (octobre 1935)
6 vec le train banal des embêtements et des petites chances  ? — Voici alors, entre cent autres, cette description d’une journée d
5 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
7 rois conceptions, que nous avons les plus grandes chances de les trouver. Dans ce domaine, toute différence reconnue peut être
8 tégeant chez la brute et l’innocent les premières chances de l’esprit, — ou mettant à l’abri des atteintes de l’esprit l’indisp