1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
1 symbolique de toute son existence, et c’est leur chœur qui chante une dernière fois la loi, au moment où il reçoit la grâce
2 est ainsi que le voyant audacieux qui écrivit les chœurs mystiques du Second Faust peut aussi faire figure de sage officiel pa
2 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
3 antissement final dans l’unisson, l’harmonie d’un chœur infini ; — à la régressive extinction des différences éphémères, leur