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tive. Un instrument et un style. Dès ce moment le
choix
de Goethe a trouvé sa forme. Il lui faudra maintenant le renouveler p
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plus grands Occidentaux ? Ceux qui ont incarné le
choix
le plus audacieux. Pascal choisit une fois pour toutes, dans une cris
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rs qu’elle propose à Goethe, comme un exercice de
choix
, l’écriture, — cela n’a rien que de logique, et résulte de la définit
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Et qui voudrait les opposer ? Que signifierait un
choix
dont l’opération resterait purement imaginaire et vaniteuse pour nous
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te que les temps nous pressent de toutes parts au
choix
, jusque dans nos admirations, nous pressent d’affecter toute chose, m
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érences, leurs poids et leurs mesures, enfin leur
choix
? L’Occident cultive l’anarchie nominaliste la plus grave : il ne sai
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la référence : ce Dieu terrible. Et sa vertu est
choix
. L’absolu d’un Nietzsche, c’est le Grand Midi ; et sa vertu : dépasse
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ir dans une telle dialectique, il n’existe pas un
choix
préalable à la tentation, un choix universel et abstrait, mais des ch
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’existe pas un choix préalable à la tentation, un
choix
universel et abstrait, mais des choix qui s’imposent avec une violenc
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ntation, un choix universel et abstrait, mais des
choix
qui s’imposent avec une violence égale à celle de la tentation — c’es
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rale et ses canons donnés d’avance. L’audace du «
choix
» ou du « dépassement », cette vertu qui « supprime la morale », Jouh
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s rigueurs d’un cadre policier. Que vivre soit un
choix
, une partialité violente, voilà ce qu’on paraît trop facilement admet
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l y va de la qualité même de notre vie ; de notre
choix
. Il y va de cette qualité même d’impossible qui seule rend la vie pos
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nquer de déconcerter tous ceux qui n’imaginent de
choix
possible qu’entre un capitalisme plus ou moins fascistisé, et le comm
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personnalistes. Mais où sont les motifs de notre
choix
? J’en indiquerai trois. 1° — La seule révolution qui nous importe co
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a foi chrétienne où je veux être, de ce suprême «
choix
» qui ne vient pas de moi, mais qui soudain me choisit, me saisit. Je
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cé d’ailleurs, interrogation accidentelle. Par le
choix
même du prétexte de cet écrit, il nous donne ce genre de pensées pour
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ffer, se brouiller » aux premières instances d’un
choix
radical et véritablement ordonnateur. Le chapitre le plus remarquable
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hée sans le savoir. Le marxisme est l’aveu de son
choix
. Mais Berdiaev parle en chrétien, et Ramuz ne veut encore parler qu’e
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possible ? Et peut-il y croire ? Il a bien vu le
choix
, mais l’a-t-il fait ? Il veut un monde à la taille de l’homme. Il sai
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l et poétique plein de dangereuses merveilles. Le
choix
des textes me paraît des plus heureux, la traduction ferme et coulant
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s’étonnera sans doute de le voir figurer dans un
choix
de « mystiques », alors qu’il est le premier défenseur de l’expérienc
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ute M. Chuzeville s’est-il laissé guider dans son
choix
par un préjugé historique que le « Mage du Nord » eût trop évidemment
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avait à l’occasion dissimuler, comme l’indique le
choix
même d’un pseudonyme. L’alchimiste médecin Paracelse, en réalité, se
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t concret d’un attachement qui ne comporte pas de
choix
délibéré. Par malheur, l’enseignement s’empare du fait patriotique et
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ion même d’une « origine » soit autre chose qu’un
choix
délibéré, quand ce n’est pas un profond calembour. « Il est permis à
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, mais c’est l’Évolution, et je n’ai plus d’autre
choix
que de m’en dire l’agent. Cet abandon de l’être entier à la Maya, san
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ués par nos hypothèses même exactes, mais par nos
choix
fondamentaux. Car la question n’est pas de savoir « ce qui arrivera »
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l’Être dans les raisons d’être des uniques. Or ce
choix
est celui de l’amour, de la connaissance par l’amour, car tout ce qui