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heure de terreur et de prière. Puis, « la page du
ciel
a été tournée », ils se relèvent : « Il paraît bien qu’on n’est pas m
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isme mais à l’homme, considéré comme un miroir du
ciel
entier. Certes, elle n’est pas seulement cruelle et folle, l’époque q
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e la largeur de la maison. On ne voit rien que le
ciel
au-delà, un ciel lavé, tissé d’oiseaux, et parfois traversé par un nu
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a maison. On ne voit rien que le ciel au-delà, un
ciel
lavé, tissé d’oiseaux, et parfois traversé par un nuage rapide. La ma
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te sur la façade de la maison, plus claire que le
ciel
vide, et illumine la goutte rose d’une fourmi ailée qui danse au-dess
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la Promesse, au point où tout se renverse, où le
ciel
s’ouvre sur le châtiment, où le démon découvre que son œuvre a libéré
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ominant de sa vie : selon (cet amour) se fait son
ciel
, s’il est bon, ou son enfer, s’il est mauvais », dit Swedenborg dans
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me transposées terme à terme d’un degré vers le «
ciel
» des archétypes : ainsi la dualité ego-vrai moi y devient celle de l
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erait alors dans le mode de la transposition du «
ciel
» en Terre, et de l’Ange en la femme, que l’on pourrait en pressentir