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e seul philosophe le privilège d’avoir parlé sans
complicité
de ce qui nous détruit : Rudolf Kassner donne la sensation à peu près
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olisme et son germanisme révèlent ici d’heureuses
complicités
sentimentales. Ce qui gêne pourtant, en plusieurs endroits, c’est un
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e avec la justice, ces prévenus en liberté, cette
complicité
générale, tout cela, ce n’est pas la « misère de l’homme sans Dieu »,
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nous intéresse longuement et gagne en somme notre
complicité
. Elle a l’humour discret, sensible, qui convient à la confession d’un