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que mort s’en suit. Sarah est donc un recueil de
contes
romantiques, cas tout à fait rare dans la littérature française, et q
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fonde raison d’être. C’est pourquoi les meilleurs
contes
du volume sont ceux dont la lenteur nous retient. Ainsi Sarah, Monsie
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pparente platitude, mais translucide, que dans le
Conte
du Serpent Vert, trop visiblement ésotérique. Équilibre si périlleux
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wis Carroll (août 1938)am Si l’on songe que le
conte
est par essence un récit cocasse et en quelque manière libérateur, on
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ibérateur, on conçoit que les meilleurs sujets de
contes
sont les plus abstraitement logiques. La logique enfantine est bien p
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nous orienter vers une compréhension nouvelle des
contes
de Lewis Carroll — qui était un mathématicien —, et d’Alice en partic
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Qu’en résultera-t-il ? Le rêve logique qu’est le
conte
de Carroll nous apparaît alors comme une série de variations sur le t
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e poserait le problème de la version française du
conte
; celle de René Bour me paraît scrupuleuse, encore que déparée ici ou
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scours. Mais l’Histoire aujourd’hui n’est plus un
conte
, elle se distingue absolument de son récit. Elle ne concerne plus le