1 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Sarah, par Jean Cassou (novembre 1931)
1 que mort s’en suit. Sarah est donc un recueil de contes romantiques, cas tout à fait rare dans la littérature française, et q
2 fonde raison d’être. C’est pourquoi les meilleurs contes du volume sont ceux dont la lenteur nous retient. Ainsi Sarah, Monsie
2 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
3 pparente platitude, mais translucide, que dans le Conte du Serpent Vert, trop visiblement ésotérique. Équilibre si périlleux
3 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Alice au pays des merveilles, par Lewis Carroll (août 1938)
4 wis Carroll (août 1938)am Si l’on songe que le conte est par essence un récit cocasse et en quelque manière libérateur, on
5 ibérateur, on conçoit que les meilleurs sujets de contes sont les plus abstraitement logiques. La logique enfantine est bien p
6 nous orienter vers une compréhension nouvelle des contes de Lewis Carroll — qui était un mathématicien —, et d’Alice en partic
7 Qu’en résultera-t-il ? Le rêve logique qu’est le conte de Carroll nous apparaît alors comme une série de variations sur le t
8 e poserait le problème de la version française du conte  ; celle de René Bour me paraît scrupuleuse, encore que déparée ici ou
4 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
9 scours. Mais l’Histoire aujourd’hui n’est plus un conte , elle se distingue absolument de son récit. Elle ne concerne plus le