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agesse faustienne qu’elle est surtout une défense
contre
le Démon révolté et la Magie latente ; et s’ils ne le voient pas, c’e
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c’est que précisément cette défense a réussi. Par
contre
ils veulent bien voir la révolte chez ceux-là qui la crient, et la ma
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a pas une révolte, il y a un péril conjuré. C’est
contre
ce qu’il nommera désormais son Daimon, contre « l’oppression despotiq
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est contre ce qu’il nommera désormais son Daimon,
contre
« l’oppression despotique des éléments inquiétants qui gouvernent tro
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e front d’une plénitude royale s’avance fortement
contre
la lumière, et les yeux, entre cette bouche et ce front, disent d’un
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autre chose, dans une société organisée (et mal)
contre
les « risques-vie », livrée aux basses rigueurs d’un cadre policier.
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oire, qui caractérisent la position marxiste. Par
contre
, les bases doctrinales exposées ici par des membres d’Esprit, de Comb
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, à voir les choses de près, leur unique argument
contre
les révolutionnaires non marxistes. Mais comment nous laisser convain
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discutable ? C’est l’homme qui se révolte en nous
contre
le marxiste. Vous n’y ferez rien. Et nous ne trahirons pas l’homme te
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ire. Une révolution n’agit pas dans le vide, mais
contre
quelque chose : elle se fera contre ces faits. Elle sera « acte ». 2e
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le vide, mais contre quelque chose : elle se fera
contre
ces faits. Elle sera « acte ». 2e — Le matérialisme décrit un monde t
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ggravées23. Ils jouent sur une révolte des hommes
contre
le capitalisme : mais cette révolte va se tourner contre eux. On va v
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le capitalisme : mais cette révolte va se tourner
contre
eux. On va voir qu’ils font la même chose, c’est-à-dire qu’ils font p
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avec eux certains mots d’ordre immédiats : lutte
contre
le capitalisme, le fascisme, leurs mystiques et leurs créations polit
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timerait, en bonne logique, serait une révolution
contre
la construction entreprise par le capitalisme d’État soviétique, cont
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entreprise par le capitalisme d’État soviétique,
contre
la mystique productiviste déjà « niée » par la crise américaine en pa
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s, par le fait de son être même, une protestation
contre
le matérialisme dialectique. Quand on possède, comme lui, le sens de
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te. Tous deux savent qu’il faut être pour Dieu ou
contre
Dieu. La bourgeoisie a choisi dès longtemps, pratiquement athée sans
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re populaires, au nom de mystiques sans puissance
contre
les menaces réelles, — qui sont la guerre et l’étatisme totalitaire.
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te « transgression » et cet oubli de nos limites,
contre
lesquels s’élèvent sans cesse les Prophètes et les Apôtres. Il faut r
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ifistes pour oser réclamer ouvertement la guerre (
contre
les régimes fascistes). « Orgueil patriotique » — c’est de nouveau na
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° si M. Benda conçoit que l’opposition esprit pur
contre
esprit asservi (aux intérêts politiques) évoque précisément pour un c
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pposition qui se résout pratiquement en unanimité
contre
le Christ, contre l’esprit incarné en Personne ; 5° si le clerc qui s
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ésout pratiquement en unanimité contre le Christ,
contre
l’esprit incarné en Personne ; 5° si le clerc qui s’en lave les mains
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ique de libération, ne tardent pas à se retourner
contre
les hommes, et à brimer nécessairement leurs vocations, leurs liberté
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’usage d’un public qu’il faut sans cesse prévenir
contre
les pires malentendus, l’on jugera mieux de la qualité de tension et
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uosité sans scrupules de ses dernières « attaques
contre
la chrétienté établie ». Toute une carrière de poète et de philosophe
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opposent. 3. Parce que Kierkegaard s’est déchaîné
contre
les églises établies, les évêques de la cour, et la religion bourgeoi
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éfende avec vigueur mais son action même témoigne
contre
l’humilité de son retrait.) La question qui se posait dès lors était
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ontemporains se passionner et bientôt s’enflammer
contre
toi.38 Tel fut le sort que choisit Kierkegaard, lorsqu’au cours des
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ésie ni de la même connaissance. Claudel choisit,
contre
le sens banal, le sens qu’indiquent les étymologies. C’est-à-dire qu’
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aver d’une sottise cette Séparation, notre péché,
contre
laquelle toute l’œuvre de Claudel se soulève à l’appel de la Joie. Le
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ser le dessein de Mounier : défendre la propriété
contre
les mauvaises raisons des capitalistes, ou comme il dit : « libérer d
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.) En 1932, les marxistes prononçaient ici même —
contre
les « petits personnalistes » — que les problèmes de l’homme, et de l
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, en le faisant lire. Et vous ferez quelque chose
contre
la guerre, ne fût-ce que de la connaître mieux. Peut-être même prendr
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les sur pied d’égalité. Une vague de fond s’éleva
contre
la prétention allemande, que l’on sentait, obscurément, ruineuse pour
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ve entièrement déterminé par le bon et le juste —
contre
eux. Si les lois de la morale n’existaient pas, il les inventerait po
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ve entièrement déterminé par le bon et le juste —
contre
eux. Il va de défi en défi, excité puis exaspéré par le silence ou le
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nt qui l’ennuie. » Type de boutade dont certains,
contre
lui, ne se priveront pas d’abuser. Voici qui va fort loin dans la cri
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e plus perspicace, et l’on a grande tendance, par
contre
, à négliger, de peur de se surfaire, tout ce qui peut entrer en jeu d
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st trop laissé prendre à sa perpétuelle polémique
contre
les convertis-convertisseurs. Il faudrait voir que pour lui, le probl
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e première éducation chrétienne, l’a mis en garde
contre
certaines altérations, les plus fréquentes, du christianisme : le mép
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els et spiritualité, d’où sa polémique inlassable
contre
l’orthodoxie telle qu’il l’imaginait et dans laquelle il voyait (par
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i osera dire : « Je ne crois pas ! » quand l’État
contre
l’homme invoquera les Nécessités de l’Histoire ? Il n’est pas de vrai
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ent », vraiment nouvelle, et donc dénuée de sens.
Contre
le malheur et son absurdité, l’homme n’a d’autre recours que d’attrib
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tout l’édifice mythique des protections de l’âme
contre
le temps de l’Histoire. Il s’agit d’un vrai fait, non plus d’un avata
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et ce recours au Transcendant, non plus au Mythe,
contre
la dictature du temps, n’est effectif que pour celui qui croit « que
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ement naturel sera donc de chercher et d’inventer
contre
le temps d’autres défenses. Il essaiera d’abord de mythifier le Chris
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es rythmes cosmiques de l’Histoire sera reprise —
contre
l’esprit des Pères — par les plus grands docteurs occidentaux, tant o
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dans son ensemble une longue réaction de défense
contre
le ferment de révolution introduit dans le monde par l’Évangile. (J’a
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jouent en fait — mais je ne pense pas en droit —
contre
l’idée occidentale de l’homme. L’importance apparente des collectivit
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de ces raisons de désespérer auxquelles je tiens
contre
le monde et contre Dieu — la négation de moi-même et du sens de ma vi
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désespérer auxquelles je tiens contre le monde et
contre
Dieu — la négation de moi-même et du sens de ma vie. Anticiper l’aven
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n par nos philosophes, et les diatribes marxistes
contre
l’aliénation. Et comme l’atteste enfin notre notion de l’amour, — à q
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peut-être un peu en cherchant à nous représenter
contre
quoi se dirigeaient leurs négations, aux temps anciens où nos affirma
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il apparaît que la négation du moi porte d’abord
contre
le moi « phénoménal », c’est-à-dire contre l’homme naturel, exemplair
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’abord contre le moi « phénoménal », c’est-à-dire
contre
l’homme naturel, exemplaire animal transitoire et « aveugle », envelo
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ences de la mort au faux-moi, l’instinct de mort…
Contre
cet ascétisme non-transfigurant, Nietzsche n’écrit pas sans raison :
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’est la liberté négative revendiquée par Don Juan
contre
les conventions de la morale commune — qu’il est déjà trop « spiritue
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jà trop « spirituel » pour respecter — mais aussi
contre
le respect du mystère exigeant de l’Autre qu’il n’est pas assez « spi
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annonçant la « colère de Dieu, révélée du Ciel »
contre
les « impudiques » et les « infâmes », contre tous ceux « qui se sont
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l » contre les « impudiques » et les « infâmes »,
contre
tous ceux « qui se sont livrés à l’impureté, selon les convoitises de
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êtissement spirituel. Eux sont tellement en garde
contre
l’illusion, qu’ils l’ont mise en facteur commun dans tout ce qui exis
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à scruter et à modifier. Elle parie sur la vie et
contre
l’entropie94. Elle ne sait plus d’où lui vient cette passion qui a pr