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ient réalité que pour le converti ; c’est donc la
conversion
qui figure l’acte par excellence du chrétien, hors duquel il n’est po
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la race chez les hitlériens. Il n’y a pas plus de
conversion
possible au prolétariat qu’au germanisme. Voilà de quoi refroidir les
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e soit resté absolument vain : il y a eu quelques
conversions
. Mais c’est tout juste si elles ont compensé les abandons ou les dépa
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s désireraient lui « révéler ». Le problème de la
conversion
devient pour lui le problème négatif du refus de la fausse conversion
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our lui le problème négatif du refus de la fausse
conversion
, ou de la conversion trop « facile ». « Je ne suis ni protestant ni c
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égatif du refus de la fausse conversion, ou de la
conversion
trop « facile ». « Je ne suis ni protestant ni catholique, je suis ch
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r erreur) la sanction d’une certaine éthique ; la
conversion
de quelques-uns de ses amis ; enfin la piété de sa femme. Ces données