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ieu. Mais le péché ne devient réalité que pour le
converti
; c’est donc la conversion qui figure l’acte par excellence du chréti
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it hôtelier breton d’origine catholique, il s’est
converti
à l’âge de vingt ans et depuis lors il n’a jamais songé qu’il pût fai
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Or la foi n’est jamais parfaite, et dans l’homme
converti
persiste « le vieil homme ». Son mouvement naturel sera donc de cherc
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’écroule, l’Église s’installe, et les Barbares se
convertissent
. Il va falloir trouver les moyens de penser cette durée non prévue, d
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re extrême où se porte l’âme irritée mais non pas
convertie
par l’esprit — comme l’a si bien vu Kierkegaard. Tout amour véritable