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de Taille de l’Homme, c’est en effet l’opposition
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du monde marxiste et du monde chrétien. Ramuz fait au communisme cert
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, c’est l’aboutissement du marxisme : l’isolement
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de l’homme. Quoi qu’il dise, d’ailleurs, il dit plus que ses argument
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nienne. » Ce langage en effet renvoie à l’origine
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du mal, où se trouve aussi le remède. Pour connaître et guérir une ma
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uvre du poète, la vocation de l’homme, la charité
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du chrétien (identiquement), c’est alors d’embrasser d’un seul geste,
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érivés les plus exsangues, c’est rénover l’action
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de la parole. Comment cela ? « Le mot appelle, provoque en nous l’éta
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cœur ! » Voilà la dernière trace de la conscience
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en nous, de la conscience de notre royauté nécessaire et réparatrice.
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rnier reproche, la dernière plainte de la justice
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blessée. Comme une prière muette en moi, toute machinale et tout obsc
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les objets et les formes, les rythmes et les lois
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, afin de les parfaire par le Verbe et, finalement, de s’en rendre maî
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rendre puérile à nos yeux l’ambition d’un lyrisme
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? 52. Un exemple au hasard. Ce vers de Baïf : « L’huître dans son é
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elles, au sens du mythe, des astres et de l’ordre
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, ou bien encore au sens de lois fatales et collectives interprétées p
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s religions de l’Orient et de l’Occident au temps
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comme au temps des humains, plaçons maintenant ce double fait : le se
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es, est née de la même rupture des grands rythmes
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et des fatalités astrologiques, et de la même victoire sur les étoile
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épiphanie d’un archétype. Cette rupture du Cercle
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livre l’homme à l’imprévisible, c’est-à-dire à la grâce de Dieu, mais
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u Moyen Âge, la théorie des cycles et des rythmes
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de l’Histoire sera reprise — contre l’esprit des Pères — par les plus
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t de faire l’Histoire ? Ou, surmontant le vertige
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et temporel où l’a plongé sa science par une mutation brusque, saura-