1 1934, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Taille de l’homme, par C. F. Ramuz (avril 1934)
1 de Taille de l’Homme, c’est en effet l’opposition cosmique du monde marxiste et du monde chrétien. Ramuz fait au communisme cert
2 , c’est l’aboutissement du marxisme : l’isolement cosmique de l’homme. Quoi qu’il dise, d’ailleurs, il dit plus que ses argument
2 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Paracelse, par Frédéric Gundolf (septembre 1935)
3 nienne. » Ce langage en effet renvoie à l’origine cosmique du mal, où se trouve aussi le remède. Pour connaître et guérir une ma
3 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). L’Art poétique ou Qu’il faut penser avec les mains (décembre 1936)
4 uvre du poète, la vocation de l’homme, la charité cosmique du chrétien (identiquement), c’est alors d’embrasser d’un seul geste,
5 érivés les plus exsangues, c’est rénover l’action cosmique de la parole. Comment cela ? « Le mot appelle, provoque en nous l’éta
4 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
6 cœur ! » Voilà la dernière trace de la conscience cosmique en nous, de la conscience de notre royauté nécessaire et réparatrice.
7 rnier reproche, la dernière plainte de la justice cosmique blessée. Comme une prière muette en moi, toute machinale et tout obsc
5 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La Poésie scientifique en France au xvie siècle, par Albert-Marie Schmidt (septembre 1939)
8 les objets et les formes, les rythmes et les lois cosmiques , afin de les parfaire par le Verbe et, finalement, de s’en rendre maî
9 rendre puérile à nos yeux l’ambition d’un lyrisme cosmique  ? 52. Un exemple au hasard. Ce vers de Baïf : « L’huître dans son é
6 1951, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Un complot de protestants (novembre 1951)
10 elles, au sens du mythe, des astres et de l’ordre cosmique , ou bien encore au sens de lois fatales et collectives interprétées p
7 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
11 s religions de l’Orient et de l’Occident au temps cosmique comme au temps des humains, plaçons maintenant ce double fait : le se
12 es, est née de la même rupture des grands rythmes cosmiques et des fatalités astrologiques, et de la même victoire sur les étoile
13 épiphanie d’un archétype. Cette rupture du Cercle cosmique livre l’homme à l’imprévisible, c’est-à-dire à la grâce de Dieu, mais
14 u Moyen Âge, la théorie des cycles et des rythmes cosmiques de l’Histoire sera reprise — contre l’esprit des Pères — par les plus
15 t de faire l’Histoire ? Ou, surmontant le vertige cosmique et temporel où l’a plongé sa science par une mutation brusque, saura-