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ut le drame secret de l’œuvre qui s’avoue dans ce
cri
: chaque fois que Goethe invoque la catégorie sacrée de l’humain, com
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er et la réalité rugueuse à étreindre. » C’est le
cri
même de Faust. « Il faut être absolument moderne. » Travailler. Se do
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t méditant regard le mot suprême de la Saison, ce
cri
sourd du plus lucide héroïsme : « Et allons ! » Goethe seul est allé
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ccupe ». Dès la seconde page, c’est à pousser des
cris
de joie. Les enfants comprendront-ils ? Dans la mesure seulement où l
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s, mais pas si sourds qu’ils ne s’irritent de nos
cris
. Il est vrai que certains, au lendemain de la guerre, ont trop souven
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5)q Kellermann à Valmy entraîne ses troupes au
cri
de « Vive la Nation ! » nation et peuple se confondaient alors dans l
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a foi dans l’Évangile n’est-elle pas justement ce
cri
: « Je crois, Seigneur, viens au secours de mon incrédulité ». L’on e
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ot sa valeur d’appel, appeler sans cesse à grands
cris
l’univers (cette « version à l’unité »), la plénitude, le rassembleme
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de la bataille vacille, il a retrouvé soudain le
cri
de la Révolution : Vive la Nation ! Or ce cri qui lui donne la victoi
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le cri de la Révolution : Vive la Nation ! Or ce
cri
qui lui donne la victoire le condamne. Je simplifie encore la thèse :