1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
1 ien plus que dans leur commune grandeur. Seule la croyance en une analogie universelle des réactions profondes de l’âme devant s
2 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Propos sur la religion, par Alain (avril 1939)
2 ue de la « réaliser » en la débarrassant de ses «  croyances fantastiques » et de sa « méthode arriérée », qui est celle de l’auto
3 uves » ou de l’absence de preuves en matière de «  croyance  », débat dont je ne trouve pas trace dans les évangiles, s’il est vra
4 t à la religion en général, avec ses rites et ses croyances dont Alain respecte la forme et laïcise le contenu. « La vraie religi
3 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Don Juan (juillet 1939)
5 parlé. Dieu est mort ! De chaque idée, de chaque croyance , de chaque valeur, Nietzsche a voulu violer le secret ; et leur défai
4 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La Poésie scientifique en France au xvie siècle, par Albert-Marie Schmidt (septembre 1939)
6 rendre maîtres. Tous sont soutenus par une double croyance dans le pouvoir magique du langage, et dans la liberté infinie de l’h
5 1951, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Un complot de protestants (novembre 1951)
7 u. Mais il croyait à l’homme individuel, et cette croyance est née de la synthèse du christianisme. Elle n’existe pas hors de lu
8 ou plutôt que je réprouve, ces discussions sur la croyance ou non d’un homme connu, multipliées et prolongées après sa mort, dan
6 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
9 e « aux Hébreux » précisément, voilà qui brise la croyance unanime aux retours éternels du temps cyclique. Dans le prolongement
10 d’un temps vidé de rythmes et de mythes, c’est la croyance à la Fin imminente : encore « un peu de temps » et le Christ reviendr
11 lement d’une crise de croissance ? On a vu que la croyance à l’Histoire absolue, ce produit de remplacement de la Providence, a
12 la Providence, a pour effet normal d’éliminer la croyance à l’action personnelle. La personne est agent de liberté. Cette Histo
13 cte libérateur ? Mais, d’abord, est-il sûr que la croyance moderne à l’Histoire comme devenir tout-puissant soit le développemen
14 on de ce que je suis, de ce que j’attends, de mes croyances ou de mon incroyance, ou même de ces raisons de désespérer auxquelles
7 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
15 ent si trompeuse conscience de soi — reste que la croyance au moi distinct et le recours à la « valeur absolue de la personne »
16 ux que les peuples de l’Europe, mais s’il est une croyance qu’ils ont tous en commun c’est la croyance à la métempsycose, à la t
17 t une croyance qu’ils ont tous en commun c’est la croyance à la métempsycose, à la transmigration des âmes. Or elle nous semble
18 e à première vue impliquer comme allant de soi la croyance en un moi reconnaissable au travers de ses vies successives. Car si l
19 sans relâche, comme on pourrait s’y attendre, les croyances populaires de leurs contrées ; c’est bien plutôt à notre idée de la p
20 es, — et en même temps l’Orient des peuples et sa croyance en la transmigration… Mais voici le moment d’ajuster la vision. Tout
21 ’opposent pas. S’il arrive que certaines de leurs croyances semblent bien se confondre avec les nôtres (semblent bien affirmer, p
22 es, les sages de l’Asie n’ont pas varié dans leur croyance à la dualité de l’Un et du Multiple, dualité finalement illusoire pui
23 s bien, et même qu’ils meurent parfois pour leurs croyances . Nous voyons ce que l’Orient est resté jusqu’ici, et que ces doctrin
24 sont nos instincts, nos tendances, nos idées, nos croyances , nos désirs, etc. Chacun de ceux-ci se trouve être, de par les causes