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ien plus que dans leur commune grandeur. Seule la
croyance
en une analogie universelle des réactions profondes de l’âme devant s
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ue de la « réaliser » en la débarrassant de ses «
croyances
fantastiques » et de sa « méthode arriérée », qui est celle de l’auto
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uves » ou de l’absence de preuves en matière de «
croyance
», débat dont je ne trouve pas trace dans les évangiles, s’il est vra
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t à la religion en général, avec ses rites et ses
croyances
dont Alain respecte la forme et laïcise le contenu. « La vraie religi
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parlé. Dieu est mort ! De chaque idée, de chaque
croyance
, de chaque valeur, Nietzsche a voulu violer le secret ; et leur défai
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rendre maîtres. Tous sont soutenus par une double
croyance
dans le pouvoir magique du langage, et dans la liberté infinie de l’h
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u. Mais il croyait à l’homme individuel, et cette
croyance
est née de la synthèse du christianisme. Elle n’existe pas hors de lu
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ou plutôt que je réprouve, ces discussions sur la
croyance
ou non d’un homme connu, multipliées et prolongées après sa mort, dan
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e « aux Hébreux » précisément, voilà qui brise la
croyance
unanime aux retours éternels du temps cyclique. Dans le prolongement
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d’un temps vidé de rythmes et de mythes, c’est la
croyance
à la Fin imminente : encore « un peu de temps » et le Christ reviendr
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lement d’une crise de croissance ? On a vu que la
croyance
à l’Histoire absolue, ce produit de remplacement de la Providence, a
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la Providence, a pour effet normal d’éliminer la
croyance
à l’action personnelle. La personne est agent de liberté. Cette Histo
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cte libérateur ? Mais, d’abord, est-il sûr que la
croyance
moderne à l’Histoire comme devenir tout-puissant soit le développemen
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on de ce que je suis, de ce que j’attends, de mes
croyances
ou de mon incroyance, ou même de ces raisons de désespérer auxquelles
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ent si trompeuse conscience de soi — reste que la
croyance
au moi distinct et le recours à la « valeur absolue de la personne »
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ux que les peuples de l’Europe, mais s’il est une
croyance
qu’ils ont tous en commun c’est la croyance à la métempsycose, à la t
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t une croyance qu’ils ont tous en commun c’est la
croyance
à la métempsycose, à la transmigration des âmes. Or elle nous semble
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e à première vue impliquer comme allant de soi la
croyance
en un moi reconnaissable au travers de ses vies successives. Car si l
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sans relâche, comme on pourrait s’y attendre, les
croyances
populaires de leurs contrées ; c’est bien plutôt à notre idée de la p
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es, — et en même temps l’Orient des peuples et sa
croyance
en la transmigration… Mais voici le moment d’ajuster la vision. Tout
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’opposent pas. S’il arrive que certaines de leurs
croyances
semblent bien se confondre avec les nôtres (semblent bien affirmer, p
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es, les sages de l’Asie n’ont pas varié dans leur
croyance
à la dualité de l’Un et du Multiple, dualité finalement illusoire pui
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s bien, et même qu’ils meurent parfois pour leurs
croyances
. Nous voyons ce que l’Orient est resté jusqu’ici, et que ces doctrin
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sont nos instincts, nos tendances, nos idées, nos
croyances
, nos désirs, etc. Chacun de ceux-ci se trouve être, de par les causes