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désir de l’éveiller à la conscience. Le but de ce
débat
, celui de Kierkegaard, celui de Nietzsche, celui présentement de Jouh
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l et du bien à la fois. « Mal » ou « péché » — le
débat
se ramène sur cette page, à une question de vocabulaire. Une simple q
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matérielles permettent à ce suprême et quotidien
débat
d’avoir un sens, un point d’application : la personne. Tel est en der
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concepts à tout faire31. Il faut voir comme il se
débat
avec son latin de cuisine, son grec allégorique et son allemand mal a
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défend. Dictature et liberté, le monde moderne se
débat
tragiquement entre ces deux nécessités dont la première exprime notre
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terme de personne, que nous jetions alors dans le
débat
politique et culturel, et qu’on nous reprochait non sans aigreur, qua
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il se veuille, se trouve intéressé dans un pareil
débat
? Cela va de soi. 44. Je pense que Mounier ne se dissimule pas le c
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l’absence de preuves en matière de « croyance »,
débat
dont je ne trouve pas trace dans les évangiles, s’il est vrai qu’il e
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Roberty, que j’aimais bien. » Vite lassé par les
débats
d’idées, il semble répugner à toute pensée qui par le style d’abord n
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plat, réduit à quelques partis pris éthiques ? Ce
débat
nous éloignerait de la réalité de Gide. Une intense affectivité le li