1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Éloge de l’imprudence, par Marcel Jouhandeau (septembre 1932)
1 désir de l’éveiller à la conscience. Le but de ce débat , celui de Kierkegaard, celui de Nietzsche, celui présentement de Jouh
2 l et du bien à la fois. « Mal » ou « péché » — le débat se ramène sur cette page, à une question de vocabulaire. Une simple q
2 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
3 matérielles permettent à ce suprême et quotidien débat d’avoir un sens, un point d’application : la personne. Tel est en der
3 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Paracelse, par Frédéric Gundolf (septembre 1935)
4 concepts à tout faire31. Il faut voir comme il se débat avec son latin de cuisine, son grec allégorique et son allemand mal a
4 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Dictature de la liberté, par Robert Aron (mars 1936)
5 défend. Dictature et liberté, le monde moderne se débat tragiquement entre ces deux nécessités dont la première exprime notre
5 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). De la propriété capitaliste à la propriété humaine et Manifeste au service du personnalisme, par Emmanuel Mounier (février 1937)
6 terme de personne, que nous jetions alors dans le débat politique et culturel, et qu’on nous reprochait non sans aigreur, qua
7 il se veuille, se trouve intéressé dans un pareil débat  ? Cela va de soi. 44. Je pense que Mounier ne se dissimule pas le c
6 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Propos sur la religion, par Alain (avril 1939)
8 l’absence de preuves en matière de « croyance », débat dont je ne trouve pas trace dans les évangiles, s’il est vrai qu’il e
7 1951, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Un complot de protestants (novembre 1951)
9 Roberty, que j’aimais bien. » Vite lassé par les débats d’idées, il semble répugner à toute pensée qui par le style d’abord n
10 plat, réduit à quelques partis pris éthiques ? Ce débat nous éloignerait de la réalité de Gide. Une intense affectivité le li