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e toute complaisance à soi. Certes, j’en vois les
défauts
, le poncif ; ces détails par trop détaillés. Mais l’important, je pen
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mode de 1920, qu’Alexandre a conquis le monde. Le
défaut
de ce point de vue, c’est qu’il n’étonnera personne, alors qu’Alexand
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’elles ont toujours été à ses yeux : le fait d’un
défaut
de présence au monde, d’une impuissance à saisir les choses. Là résid
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cet ouvrage. Il en révèle peut-être aussi certain
défaut
: Albert-Marie Schmidt domine trop constamment et trop aisément son s
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mmes en pleine scolastique (au sens vulgaire). Ce
défaut
de mots propres aurait dû le contraindre à l’invention de métaphores.
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paraîtront par endroits un peu sommaires, mais ce
défaut
procède de la vigueur joyeuse dont l’auteur fait preuve dans l’attaqu
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coupes, qualités nées, comme par décantation, des
défauts
mêmes qu’on a pu reprocher aux précédents ouvrages de l’auteur. Mais
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euse et joyeuse, comment ne voir que faiblesse et
défaut
? Ira-t-on peut-être plus loin, à des critères spirituels ? Don Juan
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-même à une sorte d’unité qui fait nécessairement
défaut
à la chronique intermittente d’une existence. Malgré les pages plus é
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par son excès même, elle nous rend attentifs aux
défauts
réguliers de tout autoportrait. C’est nous donner le moyen d’y porter
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t important à ce que d’autres jugent profond. Son
défaut
de sens poétique me paraît presque inégalé depuis Montaigne. (Je ne n