1 — cela n’a rien que de logique, et résulte de la définition même d’un tel yoga. Tout savoir doit être confirmé par un faire, qui

2 philosophes de Moscou, ont abouti, en 1932, à des définitions tellement abstruses de cette fameuse « matière » sur laquelle tout se

3 et que peut-être il sert mal sa pensée. Car cette définition ne vaut, précisément, que pour la foi marxiste-dialectique. Le « dépa

4 , l’homme sans prochain. Car le prochain selon la définition évangélique, c’est justement celui qui « exige » de l’aide et auquel

5 uissance active de l’Éternel dans ce temps. Cette définition condamne tout mysticisme qui ne serait, comme le veut M. Chuzeville,

6 au fond, il n’a jamais pu croire. Et pourtant, la définition même de la foi dans l’Évangile n’est-elle pas justement ce cri : « Je

7 nt ? 42. Tout le monde parle d’esprit sans nulle définition , sans déclarer ce que le mot sous-entend, et qui se révélerait le plu

8 ) Ôtez l’idée de la personne, déduite des grandes définitions trinitaires et christologiques, vous avez quelque chose comme l’Inde

9 si mal engagé qu’il soit, porte sur l’homme et sa définition . S’il est vrai que l’Orient nie le moi, qui est une valeur centrale p

10 divines à la fois distinctes et reliées. D’où la définition de la personne humaine ou du vrai moi, reprise et précisée par toutes

11 des chrétiens, qui est personnel. On connaît les définitions . Mais je retrouve ici mon expérience. C’est seulement à partir de là