1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Éloge de l’imprudence, par Marcel Jouhandeau (septembre 1932)
1 un Nietzsche, c’est le Grand Midi ; et sa vertu : dépassement . Jouhandeau à son tour se place dans ces marches extrêmes du bien et
2 ns donnés d’avance. L’audace du « choix » ou du «  dépassement  », cette vertu qui « supprime la morale », Jouhandeau l’appelle impru
2 1934, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Taille de l’homme, par C. F. Ramuz (avril 1934)
3 ément, que pour la foi marxiste-dialectique. Le «  dépassement  » peut aussi bien se faire dans l’immanence. La foi chrétienne dépass