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uement la tentation orientale, l’a condamnée, l’a
dépassée
, acceptant comme Goethe les conditions réelles et données de son effo
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taille est dans une foi, dans « quelque chose qui
dépasse
l’homme et le suppose en même temps », écrit-il. C’est lorsqu’il défi
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bien se faire dans l’immanence. La foi chrétienne
dépasse-t
-elle vraiment l’homme ? N’est-elle pas bien plutôt ce qui le juge et
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e famille. Sa gêne. L’horreur du geste qui puisse
dépasser
son sentiment… » Kierkegaard, lui aussi, répétait : je ne suis pas ch
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c l’erreur, mais aimer mieux. Non pas éteindre ou
dépasser
, mais transmuter, transfigurer ! Aimer mieux, c’est apprendre à disce