1 onie née de la rigueur et non du scepticisme2. Le dialogue de Laurence Sterne et du recteur Krooks sur Judas et la Parole est à

2 une réalité plus absolue. Telle est la forme des dialogues où culmine son art. De ces dialogues, où chaque interlocuteur, tour à

3 la forme des dialogues où culmine son art. De ces dialogues , où chaque interlocuteur, tour à tour, atteint à l’expression la plus

4 e auquel chaque semaine ou presque, il reprend le dialogue avec son public et l’époque, de ce ton viril et simple qui est à lui,

5 ’Ancienne Alliance le rôle collectif d’Israël. Le dialogue de Personne à personne entre Dieu qui appelle et l’âme qui répond lib

6 La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)av Un dialogue mal engagé L’Occid

7 e dialogue Occident-Orient (avril 1961)av Un dialogue mal engagé L’Occident découvre le zen au moment où les couvents ze

8 -uns de ceux qui la feront demain. L’essentiel du dialogue nécessaire et désormais inévitable, pour si mal engagé qu’il soit, po

9 re vérifiée par l’expérience intime, et promet au dialogue des spirituels un élargissement de la conscience que chacun prendra d

10 réponses. Sur cette phrase des upanishads, sur le dialogue qui peut s’instituer à partir d’expériences re-connues, on pourrait é

11 onne qui diffère, — ou quoi d’autre ? Le point du dialogue est ici. Un point seulement, sans étendue, mais selon le regard que n

12 ge dans la Brihadaranyaka upanishad, au cours des dialogues entre l’illustre sage Yajnavalkya et son épouse Maitreyi, qui l’inter

13 enis de, « La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient », La Nouvelle Revue française, Paris, avril 1961, p.