1 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Saint-Évremond ou L’humaniste impur, par Albert-Marie Schmidt (octobre 1933)
1 spoir, dans les mesures humaines ou dans la folie divine  ? Il semble bien que Saint-Évremond ait jusqu’au bout refusé de chois
2 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
2 les de pensée en tension : Incarnation, personnes divines à la fois distinctes et reliées. D’où la définition de la personne hu
3 aque Spirituel, son individualité absolue, le Nom divin , investi en lui.61 » Ainsi donc, et selon les admirables commentaires
4 comme notre “individualité éternelle”, notre “Nom divin ”, ce que le vieil Iran désignait comme Fravarti 62. » L’Ange des souf
5 t « aveugle », enveloppe obscurcissante d’une âme divine . Ainsi parlent tous les upanishads, et les premiers écrits canoniques
6 r.76 » Ibn Arabi distingue trois amours : l’amour divin du Créateur pour sa créature, et d’elle pour Lui ; l’amour spirituel
7 nnaît soudain dans l’Aimé cette Forme sensible du divin , cette théophanie que l’âme peut aimer dans toutes les dimensions de
8 l’amour naturel, possessif — mais une virtualité divine que l’amant « imagine » (dont il devine l’Image) et qu’il tend à fair
9 Ibn Arabi, à la Mekke, comme figure de la Sophia divine ). L’analyse d’Ibn Arabi ne cesse de gagner en profondeur : que l’aman
10 te jouissance, tout plaisir est une expérience du divin … Mais l’amour parfait est celui dont l’objet n’est pas limité. C’est
11 cette approbation du plaisir comme expérience du divin , comparons-les aux diatribes d’un saint Paul annonçant la « colère de