1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
1 us ne verserons notre sang. Il y a une vérité qui domine et condamne tout cela. Entre le communisme et la révolution personnal
2 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Pétrarque, par Charles-Albert Cingria (avril 1933)
2 ous une sérénité qui est plutôt de l’enthousiasme dominé , l’opulente diversité du monde. La qualité des traductions du latin,
3 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Saint-Évremond ou L’humaniste impur, par Albert-Marie Schmidt (octobre 1933)
3 -être aussi certain défaut : Albert-Marie Schmidt domine trop constamment et trop aisément son sujet. Non point qu’il le maint
4 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Recherches philosophiques (septembre 1935)
4 uissamment l’origine philosophique du conflit qui domine le monde présent. L’effondrement de l’idéalisme hégélien sous la pres
5 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Mystiques allemands du xiiie au xixe siècle, par Jean Chuzeville (octobre 1935)
5 Il y a d’autres exigences possibles : ces deux-là dominent notre siècle.) Du point de vue strictement théologique, qui est tout
6 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). L’Art poétique ou Qu’il faut penser avec les mains (décembre 1936)
6 mbre 1936)aa De l’Art poétique de Claudel, qui domine de son poids les écritures du siècle, je retiendrai d’abord deux mots
7 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
7 x, exemplaire dans sa symétrie architecturale. Il domine toutes les maisons et le clocher. Il est seul au-dessus du pays. Je v
8 est l’affaire d’une patience, ou d’une impatience dominée , — et sans doute qu’une certaine pauvreté pouvait seule m’y forcer ut
8 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
9 insensé en un poème de morts et de résurrections dominées par des rythmes et par des archétypes qui s’accordent à ceux de l’âme