1 il se sent aussitôt incomplet et coupable. Il est donc possible de dire que le péché est la mesure du démesuré, et que pour

2 é ne devient réalité que pour le converti ; c’est donc la conversion qui figure l’acte par excellence du chrétien, hors duqu

3 itions » de la vie que mort s’en suit. Sarah est donc un recueil de contes romantiques, cas tout à fait rare dans la littér

4 une application volontaire et soutenue. Ce n’est donc pas l’aspect littéraire de leur expérience qui doit conditionner notr

5 tions créatrices. À l’origine de son œuvre, voici donc le fait de la magie domptée ; conçue sous de tels auspices, c’est tou

6 partialité serait hypocrisie, refus. Qu’on trouve donc ici une prise de parti.   Nous sommes une génération comblée. Comblée

7 is qui soudain font mine de « réussir ». N’est-ce donc plus, comme le marque Th. Maulnier, qu’un conflit d’intérêts ? Et d’i

8 pugnent à nous suivre sur ce terrain. Suivons-les donc sur le leur. Ils opposent à nos « rêveries » l’action. Qu’appellent-i

9 pas être de ceux-ci ». Charles-Albert Cingria est donc de ceux dont l’érudition, quitte à passer pour macaronique — comme el

10 ainsi l’on supprime la notion même d’intéressant. Donc Cingria défend une thèse : « Je m’appliquerai à désassocier et à mett

11 ale qui est, à l’origine, de propulsion musicale, donc romane-syrienne puisque le plain-chant est roman-syrien — et le poète

12 ui introduise à celle de l’élémentaire ; qui soit donc le contraire de la recherche du pittoresque. Aucune de ses œuvres mie

13 ement biblique désigne le plan quinquennal. Voici donc le roman type de l’Édification socialiste. Bourré de petits faits vra

14 ion du travail. On a l’air d’ironiser, mais lisez donc  : vous serez pris, vous donnerez tort au traître, c’est-à-dire aux an

15 ure ». Volodia, lui, est fils de bourgeois : taré donc , intellectuel, ratiocineur, il n’arrive pas, malgré ses plus loyaux e

16 prétexte à fuir les hommes. Mais après tout, qui donc vint à son aide, à lui ? Il n’avait que la nature, les bêtes, les cho

17 du contenu, et encore moins de sa vérité. Il y a donc de l’équivoque dans notre admiration (ou notre déception) devant les

18 uver, voici une anecdote d’Angleterre : elle doit donc être vraie. Une petite fille aux cheveux carotte, nommée Alice, écrit

19 t qu’il se fût réjoui de la maldonne. Que voulait donc Kierkegaard ? Peut-être, à la limite, le martyre — la preuve irréfuta

20 qui l’a créée, s’appelle la parole. » Nous voici donc « chargés du rôle d’origine ». L’homme est « le sceau de l’authentici

21 du matériel et du spirituel. L’homme « se connaît donc à son pas et à l’extension de ses mains, à la facilité plus ou moindr

22 nous met en arrière de 1 milliard au moins. Voilà donc 3 milliards qu’il nous en coûte pour guerroyer cinq ans. Quel en est

23 e matérialiste et tyrannique à un mode spirituel, donc humain. Je sais gré à Mounier d’avoir, chemin faisant, démontré que l

24 Mais c’est user en fait de cette chose-là. C’est donc un acte et pas du tout un droit. Et ce n’est pas une sécurité, ni rie

25 ne tenir pour vrai que ce qui est petit. Laissons donc de côté ce petit travail qui a dû valoir les palmes à son auteur. Le

26 manuscrit s’affranchit comme une lettre. Il faut donc que je m’exécute, sinon c’est lui qui sera forcé « d’y aller de sa po

27 er » en dépend.   2 décembre Questions. — Est-ce donc si « naturel » de vivre sur une île ? Est-ce que l’insularité (géogra

28 s trop bien qu’ils n’en sont pas curieux. De quoi donc me parlent-ils ? Du temps, et j’aime cela comme tout le monde ; de le

29 êtres et des choses, où nous vivons ? « Je pense, donc j’en suis ». Et je ne suis guère, si je n’en suis pas. Et je ne pense

30 agit bien — disait-il — on offensera les dieux ; donc on ne s’en doit point mêler. » Mais Aristote témoigne qu’on lui répon

31 garde la vraie justice, on contentera les dieux. Donc on s’en doit mêler. » La Logique observe à propos du premier dilemme

32 édominent, facteurs moraux et psychiques. » C’est donc devant sa destinée, et non pas devant Blücher, ce hasard, que l’emper

33 es vertus. S’il se fait une révolution, elle sera donc improvisée, donc sanglante, donc destinée à se figer dans le rictus d

34 e fait une révolution, elle sera donc improvisée, donc sanglante, donc destinée à se figer dans le rictus d’une dictature. T

35 ution, elle sera donc improvisée, donc sanglante, donc destinée à se figer dans le rictus d’une dictature. Tout le monde le

36 isonnement mathématique que de la raison avertie, donc impure. Elle opère en toute liberté sur un nombre restreint de donnée

37 l’enfant : mange ta soupe et tu deviendras grand. Donc il peut exister des aliments qui produiraient l’effet inverse ? Et l’

38 rité (p. 72). La « vraie foi », vous la trouverez donc aujourd’hui chez l’instituteur laïque. Cette déclaration ouvre et fer

39 omme celui d’Alain retient du catholicisme, c’est donc exactement ce que Kierkegaard, par exemple, rejette au nom de sa foi 

40 oi, il demeure une « religion » ? Qu’il poursuive donc son enquête, si toutefois il ne tient pas à avoir raison comme Napolé

41 es que personne n’ose plus dire inviolables ! Qui donc se ferait tuer pour une vertu dont on ne sait plus quelle est la fin 

42 ient, voyez comme elles ont vite cédé ! Il faudra donc s’en prendre à Dieu et à son Fils. Déjà « le Dieu moral est réfuté ».

43 disait-il, Dieu est mort. Si Dieu est mort, c’est donc qu’il a vécu ? Dieu revivra éternellement ! Ainsi Nietzsche devient l

44 révèle ; ou la mort, ou la vie éternelle. Il faut donc que Don Juan disparaisse (car Don Juan ne gagnait qu’en trichant, et

45 sche et Don Juan doutent de leur grâce. Les voici donc contraints de gagner dans le temps de leur vie — d’où la tricherie ;

46 reconnaissais une, ce serait celle de l’Église » ( donc de Rome). Allons donc ! Pour un protestant, ce dilemme est aussi choq

47 serait celle de l’Église » (donc de Rome). Allons donc  ! Pour un protestant, ce dilemme est aussi choquant que le serait pou

48 ps magique sans fin. Combien d’individus sont-ils donc nés et morts depuis qu’il y a des hommes sur cette planète ? Si un dé

49 pparaît « sans précédent », vraiment nouvelle, et donc dénuée de sens. Contre le malheur et son absurdité, l’homme n’a d’aut

50 gions antiques du message de l’Incarnation figure donc le Scandale absolu, la nouveauté totale, proprement impensable. Et c’

51 que nul n’en sache « le jour ni l’heure ». Seule donc la négation réalisée du temps permet d’assumer le temps dans sa réali

52 te « le vieil homme ». Son mouvement naturel sera donc de chercher et d’inventer contre le temps d’autres défenses. Il essai

53 ion d’un pays ou de l’option d’un homme, il n’est donc plus question de demander si c’est « vrai ». C’est « dans le sens de

54 ’homme nouveau, « appelé » par un Dieu personnel, donc créé par une vocation, et il ne tombe pas sous le sens comme le « vie

55 ncorruptibilité et d’immortalité ; dès maintenant donc « ressuscitée avec le Christ », bien que « cachée avec le Christ en D

56 absolue, le Nom divin, investi en lui.61 » Ainsi donc , et selon les admirables commentaires qu’Henry Corbin nous donne de l

57 « rencontre aurorale » avec le moi céleste figure donc une pesée des âmes. Le mazdéisme, comme plus tard les soufis, et comm

58 naires comme l’illusion fondamentale. Il y aurait donc malentendu fondamental entre les peuples et leurs sages, entre la rel

59 uit à de criminelles renaissances.65 » Le but est donc « de nous apprendre le moyen de ne pas renaître », nous dit une moder

60 et simple : faire face au fait, signe du Tout, et donc du Vide. Leur satori est le contraire du samadhi : c’est un éveil ins

61 ité ». Et même la seule qui ait réussi. Apprenons donc à lire dans leur optique. Le même Kitaro Nishida qui écrit ceci : « L

62 l’Ange, est : toi-même. ⁂ Les différences ne sont donc pas où l’on croyait, ne sont jamais exactement ce que l’on croyait. S

63 s victimes de sa colère et de sa vengeance. Ayons donc soin de l’induire à l’amour de lui-même.74 » L’érotisme sensuel est

64 ation d’une dimension virtuelle, intemporelle, et donc permanente de l’esprit : le mazdéisme et les soufis ont proposé des n

65 elle l’objet de sa propre connaissance.75 » C’est donc en Dieu que tout amour peut reconnaître la personne de l’autre et l’a

66 eureuse » en proie aux déchirements). » Telle est donc la personne unifiée et tel est son amour de soi-même. Quant à l’amour

67 et au degré le plus éminent, le Prochain ; c’est donc d’après lui que s’établissent toutes les distinctions relatives au pr

68 ’on pourrait en pressentir l’ultime secret. (Ici, donc , toute morale commune ou rationnelle, non strictement personnaliste,

69 x, c’est apprendre à discerner la raison d’être — donc d’être unique — de l’autre aimé, comme de soi-même. Ce corps visible