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it… J’étais mûr pour le trépas… » Alors paraît le
doute
, entraînant la conscience. « Je vois que mes malaises viennent de ne
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de bonne humeur, il y a une question. Non pas un
doute
, mais quelque chose qui veut une réponse, et qui est d’autant plus tr
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droite. D’abord « impérialisme » : c’est sans nul
doute
« nationalisme » que voulait dire l’inspecteur (à moins qu’il n’ait u
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ser honnêtement la question tragique et réelle du
doute
inséparable de la foi ; parce que, « comme un oiseau s’envole anxieux
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res dont c’est la patrie. Il a conçu les premiers
doutes
humains sur la réalité de son empire, sur son pouvoir abstrait et sa
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n sait que sa foi n’est nullement le contraire du
doute
intellectuel, mais le contraire du péché, lequel n’est nullement une
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tienne. Les hommes se rendent ou tombent dans le
doute
à la première séduction d’une hypothèse scientifique. Il n’y a plus d
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rance prise sur le Saint-Esprit autant que sur le
doute
. (Il cite ce mot d’un catholique à un pasteur : « Vous, vous croyez,
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acte de foi consistera toujours à passer outre au
doute
naturel, à confesser ce que la chair ni le sang par eux-mêmes ne saur
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l’Histoire ? Il n’est pas de vraie foi sans vrai
doute
, plus qu’il n’est de lumière sans ombre. Et je n’entends pas dire que