1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
1 é dans la mesure où elle existe en sol et dans sa durée propre, comme un 3e terme, en réalité, supprime l’un des deux premier
2 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). L’Art poétique ou Qu’il faut penser avec les mains (décembre 1936)
2 nir, de relancer vers sa vraie fin tout ce qu’une durée mauvaise a disjoint et altéré. « Car l’attente ardente de la création
3 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
3 meurt, l’univers retourne au grand Chaos pour une durée égale, puis un autre Brahma inaugure une ère nouvelle, et ainsi de su
4 cun, et chaque éon se subdivise en quatre âges de durées décroissantes. Nous vivons aujourd’hui dans le sixième millénaire d’u
5 Il va falloir trouver les moyens de penser cette durée non prévue, désormais indéniable. Saint Augustin résout le paradoxe e
6 ’Histoire qui lui permet de rendre un rythme à sa durée . L’apparition du Christ ne marque plus pour lui le commencement du te
7 entaines de millions d’années-lumière, dans cette durée qui va vers l’infini, et dans une société où la technique, les « lois
4 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
8 té. Notre hygiène, augmentant de cinquante ans la durée moyenne de la vie, serait alors une « recette d’immortalité ». Et mêm