1
é dans la mesure où elle existe en sol et dans sa
durée
propre, comme un 3e terme, en réalité, supprime l’un des deux premier
2
nir, de relancer vers sa vraie fin tout ce qu’une
durée
mauvaise a disjoint et altéré. « Car l’attente ardente de la création
3
meurt, l’univers retourne au grand Chaos pour une
durée
égale, puis un autre Brahma inaugure une ère nouvelle, et ainsi de su
4
cun, et chaque éon se subdivise en quatre âges de
durées
décroissantes. Nous vivons aujourd’hui dans le sixième millénaire d’u
5
Il va falloir trouver les moyens de penser cette
durée
non prévue, désormais indéniable. Saint Augustin résout le paradoxe e
6
’Histoire qui lui permet de rendre un rythme à sa
durée
. L’apparition du Christ ne marque plus pour lui le commencement du te
7
entaines de millions d’années-lumière, dans cette
durée
qui va vers l’infini, et dans une société où la technique, les « lois
8
té. Notre hygiène, augmentant de cinquante ans la
durée
moyenne de la vie, serait alors une « recette d’immortalité ». Et mêm