1
ience sans cesse remise en question, la Saison en
enfer
est le drame d’une pureté avide, et son destin se joue d’un coup. La
2
sque plus personne n’y croit avec sérieux, ni à l’
enfer
? Quand personne ne déclare un Bien si haut qu’on se fasse tuer pour
3
cet amour) se fait son ciel, s’il est bon, ou son
enfer
, s’il est mauvais », dit Swedenborg dans La Nouvelle Jérusalem. Et da
4
s du gnostique fidèle, c’est son corps même, et l’
enfer
de l’homme sans foi ni connaissance c’est également son corps même. »