1 e à l’expérience spirituelle, où il se livre tout entier . Et c’est là sa pureté, mais c’est aussi ce qui l’accule en fin de co

2 âme joyeuse. » Voilà bien le leitmotiv de l’œuvre entière de Jouhandeau. Et soudain il nous apparaît que cette œuvre est une il

3 mais à l’homme, considéré comme un miroir du ciel entier . Certes, elle n’est pas seulement cruelle et folle, l’époque qui nous

4 nnelle » ? 32. Euphémisme résumant des chapitres entiers d’effroyables et puériles injures. « Votre Esculape, votre Avicenne e

5 par Selma Lagerlöf (novembre 1937)ag Le monde entier connaît la geste de cette communauté de sans-foyers, d’âmes sauvages

6 i de raisonnable. Voici l’histoire, traduite tout entière pour la première fois en France47. Six-cents belles pages aux vastes

7 ternances de la vie ». Mais c’est aussi au peuple entier qu’ils ont appris sa gloire quotidienne. Rien de plus profondément mo

8 le génie ait eu la force de recréer un pays tout entier , avec ses classes et ses institutions, ses armes, ses charrues et ses

9 nds, à partir de Hamann et de Herder. La création entière , disait Hamann, est « un discours adressé à la créature au moyen de l

10 ul. Mais l’Histoire absolue veut que l’homme tout entier soit uniquement du monde : elle le coupe de l’esprit. Ce faisant, ell

11 x que de m’en dire l’agent. Cet abandon de l’être entier à la Maya, sans plus rêver la délivrance du nirvana, cet enlisement d

12 l’érotisme. Le shivaïsme explique le cosmos tout entier en termes de sexualité : il pose le désir à la base de tout. Nous ne

13 « agrégats » individuels : le cosmos actuel tout entier semble résulter — selon leurs sages — d’une gigantesque schizophrénie

14 tière que nous cherchons le Soi. La création tout entière , « soumise à la vanité » mais travaillée par « un ardent désir, atten