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ême l’occasion de réaliser sans cesse à nouveau l’
exigence
dernière de la magie : son reniement au profit de l’action. Insistons
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facilement admettre autour de nous. Voilà bien l’
exigence
que nous voulons rendre inconfortable, inadmissible, et dans toute l’
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bouleversements nécessaires ; une substance, une
exigence
impossible et qui est la seule chose que les hommes éprouvent dans le
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s né quand il aurait fallu ». L’Histoire a de ces
exigences
. On conseille à Volodia de se brûler la cervelle. Il se pend. Ce résu
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les témoignages qu’on nous propose. Un peu plus d’
exigence
philosophique conduirait certainement la plupart d’entre nous à récus
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décret scientifique, pour agir. (Il y a d’autres
exigences
possibles : ces deux-là dominent notre siècle.) Du point de vue stric
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e laissassent convaincre par le « bon droit » des
exigences
allemandes. Et c’est pourquoi, lorsqu’en septembre 1938, l’Allemagne
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pinion démocratique apparut désorientée par cette
exigence
purement « rituelle ». Les uns remarquaient qu’il n’y avait guère de
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tesgaden et Godesberg. Les autres pensaient que l’
exigence
d’entrer en armes était une « querelle d’Allemands », une rodomontade
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et moralisme. Du libre examen, Gide conserve son
exigence
de vérité et de véracité « advienne que pourra ». Du moralisme, il a
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liste ? Certes, je m’en voudrais de critiquer une
exigence
d’honnêteté qui rappelle si fort Kierkegaard. Gide répugne à paraître
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iva — sans s’ordonner d’avance, dirions-nous, aux
exigences
du vrai moi, qui est notre répondant céleste. Et faut-il qu’il existe
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e autopunitive, elle finit par confondre avec les
exigences
de la mort au faux-moi, l’instinct de mort… Contre cet ascétisme non-
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ue. Capté par l’instinct qu’il excite au-delà des
exigences
naturelles, il ira fatalement s’épuiser dans l’illusoire multiplicité