1
lles nous sont données pour ce qu’elles sont, des
fables
. Nos romanciers, terrorisés par une sadique « défense d’inventer », s
2
ns la virtuosité et les malices de ce génie de la
fable
nordique. Lagerlöf ou la gloire de conter ! Jusqu’au moment où l’imag
3
atastrophes naturelles, et tous les emplois de la
fable
suédoise : trolls, sorcières, belles jeunes filles courtisées par des