1
cette philosophie, ainsi qu’en témoigne l’accueil
fait
à la pensée d’un Karl Barth, génial disciple du Danois, et dont il es
2
derne, non du point de vue littéraire comme on le
fit
en France, mais du point de vue des valeurs vitales (problème que not
3
e d’une ironie qui chez d’autres serait plutôt le
fait
du détachement. Une ironie à l’intérieur des choses, qui les fouille
4
e chose d’espagnol dans la démarche ; un tour qui
ferait
penser aux conteurs de la fin du xviiie ; des sujets dans le goût al
5
. Car la vie est une espèce de marâtre et n’a que
faire
de nos tendresses. Les sujets de Jean Cassou sont très particuliers —
6
à l’arbitraire parfois —, ce dont on hésite à lui
faire
reproche, car ce qui lui importe, comme à nous, c’est précisément le
7
donc un recueil de contes romantiques, cas tout à
fait
rare dans la littérature française, et qui comporte en soi quelque ch
8
s essais sur le monde actuel et futur ? Est-ce le
fait
d’une disposition trop romantique que d’avoir cru distinguer dans ces
9
ces œuvres je ne sais quelle complaisance qui les
faisait
éviter d’instinct tout point de vue pratiquement bouleversant ? D’aut
10
nt bouleversant ? D’autre part, n’est-ce point le
fait
d’un certain manque de tact intellectuel que de poser des questions s
11
ailleurs, indique chez Ramuz la volonté de ne pas
faire
prendre une chose pour une autre, ni certain aspect usuel de la chose
12
. Mais il faut dire maintenant l’actualité tout à
fait
singulière d’un tel livre. Il y a des sujets éternels, ou mieux, perp
13
t la matière en fusion et la réalise soudain — la
fait
chose — en lui donnant une forme ; l’actualise — la fait acte — en l’
14
ose — en lui donnant une forme ; l’actualise — la
fait
acte — en l’arrêtant dans cette forme et lui donnant une date. Les pé
15
revêt une actualité7 et une réalité véritables du
fait
de la crise. Mais cet affleurement mystérieux de la forme mythique, l
16
é M. Spaïer, que toute pensée est judicatoire, le
fait
même de penser devient fauteur de crise. Informer le réel, c’est en q
17
t n’apprécie que ce qu’il est lui-même en état de
faire
. » Telle est la cause du malentendu que soulèvera toujours à nouveau
18
et le goût passionné de l’effort immédiat. Qu’un
fait
de cet ordre puisse être tenu pour crucial, je veux croire qu’on ne l
19
sard » l’a-t-il provoquée chez Goethe ? Il est un
fait
de sa jeunesse dont on ne saurait exagérer l’importance à la fois his
20
éatrices. À l’origine de son œuvre, voici donc le
fait
de la magie domptée ; conçue sous de tels auspices, c’est tout nature
21
t le renoncement à la magie spéculative n’est, en
fait
, qu’un accomplissement, le plus difficile et le seul humainement féco
22
intérieure, la renie même bruyamment. C’est là le
fait
d’une âme qui se refuse encore à la souffrance et la crie sur la plac
23
phase plus « réalisée ». L’homme moderne est peu
fait
pour comprendre cela, de même qu’il est peu fait pour la grandeur et
24
fait pour comprendre cela, de même qu’il est peu
fait
pour la grandeur et la pureté, et pour des paroles comme « Si ton œil
25
pureté, et pour des paroles comme « Si ton œil te
fait
tomber dans le péché, arrache-le et jette-le loin de toi ». Mais Rimb
26
t les chœurs mystiques du Second Faust peut aussi
faire
figure de sage officiel parmi les philistins. Le somnambule est désor
27
n tel yoga. Tout savoir doit être confirmé par un
faire
, qui le tait et l’exprime à la fois. Le « faire » de Rimbaud ne peut
28
n faire, qui le tait et l’exprime à la fois. Le «
faire
» de Rimbaud ne peut être la littérature, puisque écrire signifie pou
29
, et, au fond, il m’est assez indifférent d’avoir
fait
des pots ou des assiettes »10. Si tout de même il a peiné sur la comp
30
ns les plus hautes de l’existence terrestre. « Un
fait
de notre vie ne vaut pas en tant qu’il est vrai, mais en tant qu’il s
31
agréger ce qui est supérieur. C’est pourquoi l’on
fait
bien, dans la vie ordinaire, de garder ces choses-là pour soi et de n
32
de l’étrange refus de Goethe, dès qu’il s’agit de
faire
état des causes premières, des fins dernières, en tant que telles. De
33
onde et surtout aux belles dames qui n’ont rien à
faire
. Mais un homme supérieur, qui a déjà conscience d’être quelque chose
34
là pour diffuser leur éclat sur tout ce que nous
ferons
, comme la douce lumière d’un soleil caché14. » Écrire, tout en se tai
35
ais écarter la magie de mon chemin Oublier tout à
fait
les formules d’enchaînement Si j’étais devant toi, ô nature un homme
36
critique l’abus des mécaniques, ce qui revient à
faire
le vain procès de la bêtise humaine. Ou bien sa réaction de dégoût es
37
distinguerait l’ordre de grandeur du grief qu’il
fait
à ce temps. C’est ce qu’en vain l’on cherche au cours de cette suite
38
au monde, c’est que, jusqu’à nouvel ordre, je lui
fais
encore confiance ». Ainsi se termine ce livre amer, sans qu’à vrai di
39
uand personne ne déclare un Bien si haut qu’on se
fasse
tuer pour ce Bien ? Ceci pour indiquer à la fois l’importance et les
40
éant. Mais la réalité de la foi est inverse. Elle
fait
voir le mal comme donnée immédiate ; puis le bien ; puis le péché et
41
rité du péril crée en nous une unité que n’ont su
faire
ni maîtres ni doctrines, unité de refus devant la consternante misère
42
ves gens, vous n’aviez après tout rien de mieux à
faire
. Et vous pensiez que la révolution, c’était une bande de méchants gar
43
« idéaux » criminels. Il y a la guerre proche. La
ferons
-nous ? pour qui ? Il y a la misère présente : pourquoi la supporteron
44
urgeoisie déchue et un marxisme faux ? Il reste à
faire
la révolution. Ni à gauche, ni à droite, il n’y a rien pour nous. Nou
45
i se révolte en nous contre le marxiste. Vous n’y
ferez
rien. Et nous ne trahirons pas l’homme tel qu’il est, sous prétexte q
46
faits sont les faits » comme on voudrait nous le
faire
croire. Une révolution n’agit pas dans le vide, mais contre quelque c
47
dans le vide, mais contre quelque chose : elle se
fera
contre ces faits. Elle sera « acte ». 2e — Le matérialisme décrit un
48
volte va se tourner contre eux. On va voir qu’ils
font
la même chose, c’est-à-dire qu’ils font pire que ceux qu’ils attaquen
49
ir qu’ils font la même chose, c’est-à-dire qu’ils
font
pire que ceux qu’ils attaquent. Cela commence à se savoir. Ils promet
50
e cette seule chose pour laquelle j’accepte de me
faire
tuer, parce que ce ne serait pas crever bassement dans la haine, mais
51
vaincra toutes les révolutions — après les avoir
faites
. 18. En Allemagne, un groupe en croissance rapide, le Gegner, s’eff
52
ivent des livres sur Pétrarque voudraient pouvoir
faire
une part au Moyen Âge (qui les excite) et admirer en même temps le re
53
l’Impartialité ? Ces gens-là voudraient bien nous
faire
croire qu’un texte est intéressant dans la mesure même où il est dépo
54
», et le nationalisme artificiel mais régnant qui
fait
de la chose publique la chose désavantageuse 25, quelques pages brill
55
arrêt, sans cet arrêt d’illusoire devenu réel que
font
les actuels nationalismes, ayant pour effet qu’au lieu d’être avantag
56
ence encore contrainte : « Ah ! comme je suis mal
fait
pour ma part, si j’ose ainsi parler de moi, mais je ne parle pas de m
57
pour ce qu’elles ont toujours été à ses yeux : le
fait
d’un défaut de présence au monde, d’une impuissance à saisir les chos
58
sa vocation ? Est-ce qu’elle n’a rien de mieux à
faire
que de se lever avec cent-mille autres, de faire le poing avec cent-m
59
faire que de se lever avec cent-mille autres, de
faire
le poing avec cent-mille autres ? Cent-mille mains saluent le tyran,
60
s dans les méandres de son éthique. Certes, il en
fait
valoir ainsi toutes les nuances, avec un art égal à son modèle. On vo
61
ées sur la société. On y verra comment il se peut
faire
que les tyrannies sociales, mondaines ou politiques, trahissent par l
62
comme la genèse individuelle et religieuse de ce
fait
trop actuel, qu’Albert-Marie Schmidt nous restitue au cours de son es
63
a de se brûler la cervelle. Il se pend. Ce résumé
fait
le plus grand tort à l’ouvrage. Il est cependant exact. Mais les fait
64
ut cela est en pleine métamorphose. Mais voici un
fait
plus inquiétant : ce livre montre, par vingt exemples irréfutables, q
65
que du monde marxiste et du monde chrétien. Ramuz
fait
au communisme certains reproches que d’autres ont déjà formulés, avec
66
le marxisme, il n’en resterait pas moins, par le
fait
de son être même, une protestation contre le matérialisme dialectique
67
et des êtres, on n’a pas besoin d’arguments pour
faire
sentir l’absurdité des « lois » qui, pour certains intellectuels, fig
68
t la réalité. Une œuvre comme Adam et Ève nous le
fait
voir tout aussi bien que cet essai : Ramuz est présent à ce monde, —
69
anticipée peut-être. Mais ils se trompent tout à
fait
quand ils se croient matérialistes28. Ils détestent la matière comme
70
l y croire ? Il a bien vu le choix, mais l’a-t-il
fait
? Il veut un monde à la taille de l’homme. Il sait aussi que la mesur
71
ialectique. Le « dépassement » peut aussi bien se
faire
dans l’immanence. La foi chrétienne dépasse-t-elle vraiment l’homme ?
72
livre ? Cette Loi qui nous condamne quoi que nous
fassions
, ce Juge impitoyable, cette instance suprême qu’on n’atteint jamais,
73
si par cette foi, et parce qu’elle nous permet de
faire
un pas et « d’en sortir » que nous connaissons notre état, que nous m
74
nous vivons. C’est une anarchie sémantique. On me
fait
observer que l’opposition n’est pas entre le peuple et la nation — en
75
seule manière de tirer à la mitrailleuse et de se
faire
casser la figure. On peut regretter que le Congrès pour la défense de
76
ts-clés un sens commun. Mais il me semble qu’on a
fait
tout autre chose, au Palais de la Mutualité. Il me semble qu’on s’est
77
liberté par exemple : c’était jusqu’à présent le
fait
des ligues que de proclamer la liberté en préparant la dictature. Jam
78
ier30. Il faut se méfier de la gloire qu’on lui a
faite
. On nous rapporte par exemple que « déjà vieux et ne voulant pas mour
79
r, il s’adressa au diable qui lui conseilla de se
faire
enterrer pour une année, coupé en petits morceaux, dans du crottin de
80
petits morceaux, dans du crottin de cheval, et de
faire
subir à son corps toute la gamme des combinaisons alchimiques afin de
81
nsuite sous la forme d’un beau jeune homme. Il se
fit
tailler en morceaux et enterrer par son fidèle serviteur. Mais celui-
82
bel adolescent, le crâne seul n’avait pas tout à
fait
repoussé. Un peu d’air pénétra dans le cerveau et Paracelse dut mouri
83
de notre temps. Mais combien, parmi nous, se sont
fait
déterrer deux jours trop tôt ! L’auteur de l’anecdote était bon proph
84
er du côté des mystiques, où cependant il n’a que
faire
, avec son goût de l’expérience et de l’application concrète. Mais jus
85
que d’un historien de la science. Les historiens
font
la grimace, mais les lettrés et les médecins de la jeune école seront
86
sion des réalités humaines élémentaires, voilà le
fait
historique capital sur lequel se fonde l’attitude commune des intelle
87
éfaut procède de la vigueur joyeuse dont l’auteur
fait
preuve dans l’attaque d’un problème entre tous urgent. Il se pourrait
88
parence brutale des thèses personnalistes soit le
fait
, provisoire, de toute philosophie naissante qui prétend restituer aux
89
ouvoir pratiquement bouleversant. À cet égard, on
fera
bien de lire l’essai de René Daumal sur les Limites du langage philos
90
ourries. C’est cette vision de vous ainsi qui m’a
fait
peindre ces planchers, des années plus tard, pour que vous n’ayez plu
91
Lawrence : « Je suis épuisé — Par l’effort que je
fais
pour aimer les gens — sans y parvenir. » Ou encore : « Oh ! ne me don
92
d’écrire sur ses genoux. (Pendant que les autres
font
une carrière dans le « monde des lettres » et se composent un prestig
93
mythomanie. La ferveur littéraire indiscrète, qui
fera
sans doute le succès de ce volume, vaut-elle mieux que l’étroitesse p
94
de l’expériencev. Mais la beauté des textes cités
fait
pardonner bien volontiers cette erreur de classification35. Par exemp
95
il faut qu’il reste un lien obscur, informulé, un
fait
sentimental et tellurique, un ensemble de goûts et d’habitudes qui ne
96
nconditionnelle. C’est reconnaître et accepter le
fait
concret d’un attachement qui ne comporte pas de choix délibéré. Par m
97
délibéré. Par malheur, l’enseignement s’empare du
fait
patriotique et tente de le rationaliser : il en fait un objet de disc
98
t patriotique et tente de le rationaliser : il en
fait
un objet de discours. Par là même il le rend absurde. Il le « mystifi
99
omaine de l’incomparable. Si l’on tient compte du
fait
patriotique naturel, la seule formule « internationale » qui reste po
100
es ou simplement logiques ». S’il m’est permis de
faire
ici un peu de théologie et un peu de logique, je demanderai à M. Bend
101
ation » de l’esprit ; 2° au cas où ils l’auraient
fait
, ce que j’ignore car je les pratique peu : s’il y a lieu de reprendre
102
le clerc qui s’en lave les mains ne risque pas de
faire
le jeu des clercs qui crient avec les loups, et de trahir de la sorte
103
t ces deux vertus, par une sorte d’ellipse tout à
fait
révélatrice du mouvement de sa pensée, et à certains égards, du conte
104
ence de service civil, organisée l’été dernier, a
fait
voir que les ouvriers savent apprécier les conséquences concrètes d’u
105
lettre nietzschéenne. Admettons que la suite ait
fait
voir l’énormité de cette erreur. Je crains bien que ce n’ait été qu’a
106
grande mollesse spirituelle » l’amère passion de
faire
mourir un témoin de la vérité ? Si tu veux ce résultat… apprends d’ab
107
pouvait disposer d’elle-même. Ainsi bien informé,
fais
-toi alors le porte-parole des idées, des passions qui sont dans l’air
108
rets obstinés, de voies retorses. Si ces ouvrages
font
néanmoins quelque chemin, ce ne peut être qu’à contre-courant du snob
109
sme et l’anarchie, etc. La subjectivité, c’est le
fait
de devenir le sujet de la vérité, et non pas seulement son admirateur
110
dirait, dans le langage d’aujourd’hui : c’est le
fait
de réaliser la vérité que l’on connaît ; ou encore, de la prendre au
111
scrit à chaque page. La rumeur quotidienne tend à
faire
de « poète » une circonstance atténuante, au bénéfice du maladroit, s
112
irs. Mais Claudel dit : l’art poétique est art de
faire
. Un gémissement célèbre, chez les clercs, déplore l’antipathie tragiq
113
« Vivre, c’est connaître », « Se connaître, c’est
faire
naître avec soi »… Il ne s’agit évidemment, ici et là, ni de la même
114
a chose et du geste. Poésie, de poiein, ce sera :
faire
. Connaître, de cognoscere, sera : co-naître. Il faut savoir ce que pa
115
va risque encore d’augmenter l’embarras, et de se
faire
copieusement houspiller. Et pourtant, c’est lui seul qui détient la m
116
par la presse et par la politique, ont peu à peu
fait
passer pour communes des significations qui à vrai dire, et dans le f
117
es des significations qui à vrai dire, et dans le
fait
, ruinent les bases de la communauté. On convient de s’entendre sur de
118
et l’acte qu’il commande43, entre le parler et le
faire
, — entre la pensée et la main. Cependant que l’effort d’un Claudel, r
119
le monde de la poésie. Diviser, séparer, isoler,
faire
scission, ce n’est pas seulement cartésien ; et Descartes n’a fait qu
120
n’est pas seulement cartésien ; et Descartes n’a
fait
que constater les effets antipoétiques d’un relâchement originel. Rom
121
lle. Alors l’homme se complaît dans une fin qu’il
fait
sienne, c’est-à-dire qu’il s’isole et s’abstrait du mouvement de la C
122
» Toujours une chose-image, au lieu d’une formule
faite
, d’un terme abstrait. C’est le style du livre de Job. aa. Rougemon
123
onc humain. Je sais gré à Mounier d’avoir, chemin
faisant
, démontré que la propriété n’est pas un instinct permanent, mais au c
124
ions, publié ici même en 1932, ne manquera pas de
faire
des rapprochements fort instructifs. Ce terme de personne, que nous j
125
’on nous reprochait non sans aigreur, quand il ne
faisait
pas sourire les réalistes, le voilà repris et galvaudé depuis deux an
126
c’est à l’Esprit que le parti communiste français
fait
confiance pour l’aider à résoudre les problèmes de la paix, de la lib
127
ssiteux avec l’argent d’un autre, s’il ne peut le
faire
du sien ». (Car cet argent de l’autre devient dans ce cas bien commun
128
ien la traversée, cette étrange coupure qu’elle a
faite
dans ma vie, entre les derniers jours passés à Paris non sans fièvre,
129
t fort apparemment que je n’avais rien de mieux à
faire
. J’étais chômeur depuis trois mois. On m’offrait un abri quelque part
130
age éventuel de quelque chose. Mais c’est user en
fait
de cette chose-là. C’est donc un acte et pas du tout un droit. Et ce
131
iens selon la puissance avec laquelle j’en saurai
faire
usage, pour une fin qui leur est étrangère, et qui me commandera de l
132
tionneur. L’esprit fort et l’esprit de clocher se
font
une guerre acharnée dans ces pages et ils l’emportent tour à tour, ju
133
mettre en confiance. Je sens bien qu’elle veut me
faire
causer avant de fixer le prix du chou-fleur, des enveloppes jaunes, d
134
r ? C’est plutôt en été qu’on vient chez nous, me
fait
-elle prudemment observer. — Je le sais bien, madame Aujard, mais je n
135
e viens pas pour mes vacances ! J’ai du travail à
faire
chez moi, des tas de choses à écrire… Elle n’ose pas m’en demander da
136
n’a pas toujours ce qu’on voudrait. En hiver elle
fait
peu de réserves de produits alimentaires, les habitants n’achetant gu
137
. » Pédenaud relit pour la énième fois son tarif,
fait
son calcul sur un bout de papier, et conclut que j’ai à payer 72 fran
138
vient de partir. Il faut téléphoner au chef-lieu,
faire
rouvrir au passage le sac postal, discuter passionnément, trouver une
139
t ne rien payer de plus. Je cause un peu, pour me
faire
pardonner. Pédenaud est mutilé de guerre. Il boite. On lui a donné ce
140
80 francs par mois « en comptant tout ». Sa femme
fait
des lessives. En été ils pêchent des palourdes et les vendent aux bai
141
ureuse. Mon sort ne dépend plus de ce que je puis
faire
ou imaginer : libération. Il faut qu’il arrive quelque chose. Et s’il
142
hysiquement à nos limites. Mais l’homme est ainsi
fait
qu’il désire sans cesse se risquer au-delà de ce qu’il peut, et franc
143
tranger… Tout ici me ramène à moi seul. J’ai beau
faire
, je ne parviens pas à partager avec les hommes de ce village ce qui e
144
ui est essentiel et solide dans ma vie. Le simple
fait
que je ne puis pas les persuader que je travaille vraiment en écrivan
145
ine, je n’arriverais jamais à leur prouver que je
fais
réellement quelque chose. Quand je vais chez les Renaud, c’est tout l
146
e contraire. Ils m’expliquent en détail ce qu’ils
font
, et je puis le comprendre et l’admirer. Ils ont ainsi sur moi une sor
147
que c’est de cela précisément qu’un écrivain peut
faire
sa « spécialité ». Et rien ne les étonnerait davantage que d’apprendr
148
leur situation, à leurs problèmes, — et que j’en
fais
parfois la matière même de mon travail. J’ai quelque peine à exprimer
149
bon sens de l’époque présente. Il a trop souvent
fait
ses preuves. 15 décembre Déjeuné, après le culte, chez M. Palut. Il
150
se est de 10 000 francs, Mme Palut est obligée de
faire
, quand cela se trouve, des remplacements d’institutrices. Ils ont déj
151
t cependant de leur parler. Il n’a rien d’autre à
faire
, et il ne peut pas le faire. Et de plus, il est seul à croire qu’il d
152
Il n’a rien d’autre à faire, et il ne peut pas le
faire
. Et de plus, il est seul à croire qu’il doit le faire. Il m’a décrit
153
e. Et de plus, il est seul à croire qu’il doit le
faire
. Il m’a décrit son existence sans amertume. Il ne se plaint que de so
154
ans et depuis lors il n’a jamais songé qu’il pût
faire
autre chose qu’annoncer l’Évangile. Qu’importe qu’il n’y ait « à vues
155
il n’y ait « à vues humaines » aucun espoir de se
faire
entendre, si le seul espoir vrai réside dans la foi, qui ordonne de p
156
, par ailleurs plein d’agrément, ne m’a permis de
faire
jusqu’ici qu’une seule expérience précise et utile : celle du loisir.
157
entais pas la bonne conscience de l’employé qui a
fait
sa journée et qui pense maintenant à autre chose. Une sorte d’impatie
158
s. La page est restée blanche. Et toute réflexion
faite
, c’est bien ainsi, et très complet.) 10 avril Je n’ai pas encore pa
159
croyant trop vieille pour être mangée, sinon pour
faire
encore quelques œufs. Elle paraissait inguérissablement neurasthéniqu
160
ent ceux d’ici ne comprendraient rien à ce que je
fais
, et ce serait assez normal : il y a l’obstacle du vocabulaire, d’une
161
pression et celle de tout à l’heure s’excluent en
fait
. Mais je n’arrive plus du tout à retrouver ce sentiment d’absurdité q
162
d’algues sombres dont le crépitement sous nos pas
fait
fuir et choir de tous côtés de petits crabes. Des ruisseaux, des rivi
163
s créatures, songeant au passage où l’Apôtre nous
fait
entendre ce soupir de toute la Création vers la révélation des « enfa
164
igre en train de déchiqueter une jeune gazelle ne
fait
pas tant d’histoires, ne fait pas de sentiment. Et pourtant, ma sensi
165
ne jeune gazelle ne fait pas tant d’histoires, ne
fait
pas de sentiment. Et pourtant, ma sensiblerie n’est hypocrite que par
166
obscure. 24 mai On dirait que l’homme n’est pas
fait
pour durer : la vie étale nous ennuie, c’est ce qui naît et ce qui me
167
s essayons de soulever par les ailes la poule qui
fait
un caquet déchirant : elle serre entre ses pattes un œuf à demi ouver
168
lques mouvements, ramène deux œufs sous son aile,
fait
sortir une coque vide, et reprend, l’œil fixe, son travail invisible
169
de nouveau plus rien à espérer avant longtemps en
fait
de « rentrées ». 14 juin Hier soir, j’avais fait une dernière revue
170
ait de « rentrées ». 14 juin Hier soir, j’avais
fait
une dernière revue de nos possibilités de subsister pendant les semai
171
ut pas que ce soit une feinte, bien entendu, cela
ferait
tout rater ; il faut un véritable non-espoir). Équivalent, pour la fa
172
ché vers le guichet parle au gérant. Le gérant me
fait
un signe, et comme je ne comprends pas, il passe sa portette et vient
173
aire réglée, il croit devoir s’excuser de m’avoir
fait
passer à côté tout à l’heure. « Vous savez, c’est la coutume, ici ils
174
ont tout fiers de venir à la banque. Ici, on a dû
faire
cette salle d’attente… » Autant que j’en puis juger d’après les propo
175
tre que pour eux, une pudeur, ou une honte tout à
fait
particulière s’attache au commerce de l’argent. 20 juin Les gens.
176
ste à peu près deux heures, avant le départ, pour
faire
un peu de sentiment sur l’île, et le bilan de l’année écoulée. Bilan
177
ile de montrer qu’on peut sortir des villes où se
font
les « carrières » sans sortir de la vie véritable ; et qu’on peut viv
178
semblable, en même temps que l’exceptionnel. Pour
faire
vrai, ils imitent la vie. Mais la vie est toujours ailleurs, en train
179
n’aime que celui qui se moque d’elle et qui n’en
fait
qu’à ses façons. Elle aime les grands rhétoriciens de l’imagination f
180
e carte postale. Mais voici que la vie s’y prend,
fait
sauter le cadre, envahit tout à grands bonds émouvants, et l’auteur s
181
x de la forge rebâtie. Les Cavaliers, « appelés à
faire
vivre la joie dans le pays du fer, à l’époque du fer » nous ont appri
182
s, comme il arrive parfois aux plus prudents, ils
feront
bien de s’y comporter selon les usages du forum, et de crier avec les
183
y reçoive des outrages, mais pour qu’elle-même en
fasse
subir de salutaires à une vie qui en a grand besoin. Que cela n’aille
184
qui n’oserait s’exercer que sur du rationnel tout
fait
. S’il y a quelque part du rationnel (que ce soit dans le monde ou dan
185
s bien pourquoi il faudrait s’arrêter. Et même, à
faire
le petit rentier du rationnel, on court le risque le plus onéreux : c
186
résentant cette œuvre au public français. Vous en
ferez
tous autant en lisant ce livre, en le faisant lire. Et vous ferez que
187
us en ferez tous autant en lisant ce livre, en le
faisant
lire. Et vous ferez quelque chose contre la guerre, ne fût-ce que de
188
t en lisant ce livre, en le faisant lire. Et vous
ferez
quelque chose contre la guerre, ne fût-ce que de la connaître mieux.
189
ivre de Kuncz tire son tragique le plus secret du
fait
qu’il symbolise, illustre et concrétise une condition qui n’est pas s
190
ncz écrit à des personnages haut placés pour leur
faire
part de son état : mais les lettres n’arrivent jamais, ou demeurent s
191
ure certitude, angoissante, que cette guerre « se
fait
toute seule », que rien ne dépend plus de personnes responsables, mai
192
se multiplient dans notre siècle49, et tendent à
faire
du moindre d’entre nous un prévenu. C’est le cauchemar du xxe siècle
193
t nous gouvernons en pleine idéologie. Nous avons
fait
un empire géant pour n’avoir pas été capables de fédérer nos communes
194
re, un des meilleurs romans de l’année, et qui se
fait
lire avec le plus constant plaisir, d’autant que l’on pouvait redoute
195
èrent. C’est tout ce que l’Histoire retiendra. Ce
fait
initial a déterminé la courbe de l’expérience : il s’agissait d’affir
196
il s’agissait d’affirmer une mystique, mais de ne
faire
que les réformes qu’imposait la pression des « masses ». Dans une tel
197
d chacun veut avoir plus qu’il ne peut et ne sait
faire
, seule une révolution est capable de faire aboutir des réformes. Mais
198
e sait faire, seule une révolution est capable de
faire
aboutir des réformes. Mais personne ne la prépare. M. Staline a d’aut
199
tres plans, et Ce soir a d’autres vertus. S’il se
fait
une révolution, elle sera donc improvisée, donc sanglante, donc desti
200
es à lui opposer une logique qui, n’étant plus le
fait
des grandes personnes — « ce qui va de soi » — apparaît tantôt ridicu
201
s, annonce une psychologie post-einsteinienne, et
fait
songer au Temps vécu de Minkowski. « Cette façon d’ergoter qu’ils ont
202
ion de l’État et de la Nation) s’opposait dans le
fait
à toute application honnête des deux principes. D’une part la SDN ne
203
endre, et sur le système qu’elles pratiquaient en
fait
. C’est ainsi que l’Allemagne exigea l’autonomie des Sudètes au nom du
204
stre anglais sut voir et dire qu’il y avait là un
fait
nouveau, le signe d’une volonté d’hégémonie. C’était traduire en term
205
pelait alors « réalistes », et qui se bornaient à
faire
état des pertes matérielles subies. Le bénéfice moral, incalculable,
206
rsonne ne sut opposer au Führer l’idéal qui avait
fait
jusqu’alors la force et l’équilibre dynamique de l’Occident : l’utopi
207
chrétiens vivant selon la foi et capables de lui
faire
pressentir que ses observations toujours ingénieuses, souvent justes,
208
l ne tient pas à avoir raison comme Napoléon, qui
faisait
les demandes et les réponses. 51. On me dira que mon point de vue e
209
aussitôt prises les rejette, comme si c’était le
fait
du crime et non le plaisir qu’il cherchait. Polémiste perpétuel, il s
210
venterait pour les violer. Et c’est cela qui nous
fait
pressentir la nature spirituelle de son secret, si bien masqué par le
211
scrupules, toutefois ressentie comme un crime, du
fait
qu’elle institue un ordre neuf par le décret de sa rigueur. ⁂ Nietzsc
212
u’il veut forcer la nature autrement qu’on ne l’a
fait
jusqu’à lui. Polémiste perpétuel, Nietzsche se trouve entièrement dét
213
ersonne n’ose plus dire inviolables ! Qui donc se
ferait
tuer pour une vertu dont on ne sait plus quelle est la fin ? Et toute
214
idité, les richesses dont l’ère classique a voulu
faire
le sacrifice. Ce n’est pas rien ! Cela donne à Phèdre un air de luxe
215
ils, certaines allusions, et beaucoup de silence,
font
pressentir un drame secret, un nœud vital où peut-être réside la caus
216
e, et soumis par lui-même à une sorte d’unité qui
fait
nécessairement défaut à la chronique intermittente d’une existence. M
217
rtout ce qui a frappé, ce qui est bizarre, ce qui
fait
exception justement. Et comment ne céderait-on pas à l’invite d’une f
218
c’est-à-dire ce qui frappe ce jour-là, et l’on se
fait
trop pittoresque. En somme, le journal exigerait une discipline plus
219
irait de savoir si la vraie vie est dans ce qu’on
fait
, ou dans ce qu’on pense de ses actions. (Voir là-dessus la note drama
220
les non conformistes. Mais toute morale a bientôt
fait
de se muer à son tour en dogme, et la morale protestante succombe à c
221
ubissant seulement la coutume d’un milieu. Tout à
fait
justifiée en soi, cette réaction gauchit parfois certains jugements d
222
t de protestants (novembre 1951)at Tout compte
fait
, nous nous connaissions peu, ce jour de juin 39 où dans le hall de la
223
barrée d’un sourire mince et pourtant amical. Il
fait
très chaud. De ses poches, il tire deux bouteilles de bière et nous l
224
i soudainement, dit-il, c’est inquiétant. Cela me
ferait
presque croire à la Providence !… Mais dites-moi, Rougemont, quand on
225
e il sait insister sur les suppressions qu’il y a
faites
. Tout ce qui concerne intimement sa femme — « le seul être, dit-il, q
226
sistance de mon opinion sur Strindberg, et je lui
fis
une réponse assez vague, m’étonnant surtout de la question. Huit jour
227
a piété de sa femme. Ces données biographiques ne
font
point une nature. Elles expliquent simplement l’insistance du problèm
228
ue, ni mystère ? Ne serait-il pas un homme tout à
fait
plat, réduit à quelques partis pris éthiques ? Ce débat nous éloigner
229
ances bibliques me stupéfiaient. L’usage qu’il en
faisait
me semblait décevant. Là où Claudel prend son élan pour caramboler de
230
ieux savoir. Et qu’est-ce que cela peut bien nous
faire
? Sinon nous servir d’argument et nous rassurer curieusement dans not
231
u temps des humains, plaçons maintenant ce double
fait
: le sens de l’Histoire est caractéristique de l’Occident, et il y to
232
o-naissance de l’Histoire et de la Personne Un
fait
quelconque n’est historique au sens exact qu’en vertu de son unicité.
233
davantage à la personne. Seule la religion juive
fait
exception dans le monde antique. Ses prophètes ont cru que Iahvé inte
234
c’est parce que l’homme a peur du temps. Voilà le
fait
fondamental. Car le temps est lié à la mort comme à la perte des para
235
ontre le temps de l’Histoire. Il s’agit d’un vrai
fait
, non plus d’un avatar ni de l’épiphanie d’un archétype. Cette rupture
236
n résulte une suite de conséquences qui jouent en
fait
— mais je ne pense pas en droit — contre l’idée occidentale de l’homm
237
nir présent. Elle est plus vraie que nous, qui ne
faisons
que l’habiter pour un atome de temps insignifiant. Elle est devenue l
238
iquement du monde : elle le coupe de l’esprit. Ce
faisant
, elle nie la personne, car la personne se fonde dans ce qui juge le t
239
thique, des Mayas ou du vase de Vix, les mémoires
font
fureur, les biographies s’arrachent, et beaucoup n’attendent pas la c
240
Devenir déifié, va-t-il se mettre hors d’état de
faire
l’Histoire ? Ou, surmontant le vertige cosmique et temporel où l’a pl
241
e que nous sommes disposés à laisser arriver ou à
faire
arriver ; la question n’est pas de supputer le sens probable d’un dev
242
stion n’est pas de deviner l’Histoire, mais de la
faire
. Seules nos options présentes préparent un sens, ménagent d’avance un
243
e religare, lier ensemble. 57. La nouveauté — le
fait
sans précédent archétypique — est la terreur de tous les « Moyen Âge
244
nter la conscience de quelques-uns de ceux qui la
feront
demain. L’essentiel du dialogue nécessaire et désormais inévitable, p
245
testent non moins la mauvaise réputation que nous
faisons
à l’anonyme, la condamnation par nos critiques du style impersonnel o
246
otège, les guide, les défend, les réconforte, les
fait
triompher, et c’est cet être qu’ils appelaient Nature parfaite. » C’e
247
ligion des uns et la métaphysique des autres ? En
fait
, on ne voit pas les Sages de l’Asie dénoncer sans relâche, comme on p
248
s spirituelle) du continent, un interprète du zen
fait
écho : « La négation de l’Atman énoncée par les premiers bouddhistes
249
iennent à la stase pure et simple : faire face au
fait
, signe du Tout, et donc du Vide. Leur satori est le contraire du sama
250
action qui configure l’idée du moi que nous nous
faisons
, et cette idée du moi révèle l’amour, comme la structure de l’atome t
251
riétés de l’énergie. « C’est l’amour dominant qui
fait
l’homme… L’homme est absolument tel qu’est l’amour dominant de sa vie
252
l’amour dominant de sa vie : selon (cet amour) se
fait
son ciel, s’il est bon, ou son enfer, s’il est mauvais », dit Swedenb
253
Mal comme deux principes préexistants ; ni tout à
fait
des « deux hommes en moi » dont la lutte fait gémir saint Paul ; mais
254
t à fait des « deux hommes en moi » dont la lutte
fait
gémir saint Paul ; mais, préalablement à tout jugement moral, il s’ag
255
la mystique des soufis, et pour cause. Si je les
fais
intervenir ici, c’est à titre d’évocation d’une dimension virtuelle,
256
magine » (dont il devine l’Image) et qu’il tend à
faire
exister dans l’être aimé, par l’efficace de son amour préfigurant. C’
257
mée terrestre, en l’adossant à une lumière qui en
fasse
éclore toutes les virtualités surhumaines, jusqu’à l’investir de la f
258
perpétuer la présence, son amour tend toujours à
faire
exister quelque chose qui n’est pas encore existant dans l’Aimé.78 O
259
s un bien absolument identique… C’est l’amour qui
fait
le prochain, et chacun est le prochain selon la qualité de son amour.
260
es soufis, comme l’angélologie du mazdéisme, nous
fait
voir combien plus vivement l’unité première et finale de tout amour !
261
re et finale de tout amour ! Peut-être aussi nous
fera-t
-elle entrevoir comment le mythe de Tristan — en dépit du pseudo-boudd
262
es symbolisant ses résistances naturelles, et qui
font
l’intérêt de sa vie amoureuse. Mais l’Orient se contente de proposer
263
ans tout ce qui existe ; (à tel point que le seul
fait
d’exister devient pour eux l’équivalent de notre péché originel). Ils
264
l’équivalent de notre péché originel). Ils en ont
fait
autant pour les névroses qui s’attaquent à nos « agrégats » individue
265
finalement résorbé, tout s’arrangera.) Ils en ont
fait
autant pour les personnes, potentialisées dans une seule Personne-cos
266
mé est la source des pires conflits, une violence
faite
à l’âme de l’autre, à son corps ou à son esprit — ou encore à son moi
267
J’aime en elle à la fois ce que je vois et ce qui
fait
que je la vois unique : ce vrai moi pressenti par l’amour seul, et qu
268
dre l’Un primordial. Quand ses dieux mêmes auront
fait
leur office et fait leur temps, il y aura le Soi seul en tout. À la c
269
Quand ses dieux mêmes auront fait leur office et
fait
leur temps, il y aura le Soi seul en tout. À la consommation des temp
270
au contraire, ce moi sans valeur est en train de
faire
valoir ses revendications, par plusieurs centaines de millions de bou
271
dente satisfaction : « La psychologie moderne, en
fait
, a éliminé l’ego comme entité. » (Mysticism : Christian and Bouddhist
272
ollègues l’approuvent et il est décidé qu’il sera
fait
suivant ce qu’il a proposé. D’autres fois, plusieurs membres de l’ass