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esprit comme celui de Goethe. « On a peur que son
feu
ne le consume », écrit un de ses amis, vers ce temps. « Goethe vit su
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ent, comme par exemple une maison trop grande, un
feu
de bois vert qu’on s’ingénie à allumer dans une cheminée qui tire mal
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n peut espérer de détruire 150 000 ennemis par le
feu
, le fer, l’eau, la faim, les fatigues, les maladies. Ainsi, la destru
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nd ténor, l’on est tenté de ne voir en lui que le
feu
naturel du désir, — une espèce d’animalité véhémente, et comme innoce