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r, mais aussi l’être sombre dans le mystère de la
fureur
». Cette complexe dialectique de la magie, Goethe lui-même l’a stylis
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pudeur et la lourdeur du monde. C’est au point de
fureur
dionysiaque où la joie de détruire devient douleur, et dans l’angoiss
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onomie. Schmidt nous aide à concevoir l’espèce de
fureur
titanique qui animait ces Renaissants, leur volonté de « singer Dieu
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e, des Mayas ou du vase de Vix, les mémoires font
fureur
, les biographies s’arrachent, et beaucoup n’attendent pas la cinquant
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om desquelles on l’a versé. Mais d’où vient cette
fureur
d’anticiper l’avenir jusqu’à l’hypothéquer sur des millions de crimes