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ici d’heureuses complicités sentimentales. Ce qui
gêne
pourtant, en plusieurs endroits, c’est un certain tour désinvolte, le
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n garde ses droits. Aussi n’est-ce point sans une
gêne
grandissante que l’on poursuit la lecture de ces pages où maints para
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ela met entre nous une barrière sentimentale, une
gêne
constamment sensible. Et je n’ai nulle envie d’en prendre mon parti.
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ceci, — qui n’est précisément qu’un sentiment de
gêne
en moi. Sentiment qu’il y a là quelque absurdité, et si énorme que pe
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ster si parfaitement aveugles ? Ou bien est-ce ma
gêne
qui est absurde ? Essayer de confronter la culture et la réalité, c’e
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crit « forcé de s’asseoir au culte de famille. Sa
gêne
. L’horreur du geste qui puisse dépasser son sentiment… » Kierkegaard,