1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
1 ourquoi l’on fait bien, dans la vie ordinaire, de garder ces choses-là pour soi et de n’en découvrir que juste ce qu’il faut p
2 our le bien du monde. Les autres, nous devons les garder pour nous ; elles seront toujours là pour diffuser leur éclat sur tou
3 ée du christianisme). Plus goethéenne aussi. Mais gardons -nous de tirer de ceci je ne sais quel critère de « jugement » qui per
2 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). « Le plus beau pays du monde » (octobre 1935)
4 rt de leur en accorder bien davantage qu’ils n’en gardent et que ceux qui les prononcent n’en conçoivent. Pour vous le prouver,
3 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
5 dit. Car elles ne baisseront pas leurs prix pour garder un client, elles les augmenteront bien plutôt pour le punir d’avoir é
6 ure et qui se remplit de tressaillements. Nous ne gardons que les plus belles crevettes, grosses comme le doigt, d’un rose somb
4 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au dossier d’une vieille querelle (novembre 1937)
7 7)ah Un clerc écrivait récemment qu’il faut se garder d’engager la raison dans une aventure — la vie — « où elle ne peut qu
5 1940, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au sujet du Journal d’André Gide (janvier 1940)
8 acité « advienne que pourra ». Du moralisme, il a gardé sans doute une propension fondamentale à préférer à la lettre du dogm
6 1951, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Un complot de protestants (novembre 1951)
9 ce qu’il vient de me dire : « J’ai trop longtemps gardé cette illusion que la femme n’avait pas besoin du commerce physique,