1 Son espagnolisme et son germanisme révèlent ici d’ heureuses complicités sentimentales. Ce qui gêne pourtant, en plusieurs endroit

2 aît dans une soirée pure et le baiser d’un couple heureux . Rarement la forme authentique de Ramuz atteignit une autorité compar

3 erveilles. Le choix des textes me paraît des plus heureux , la traduction ferme et coulante. La plupart des mystiques que M. Chu

4 es ces tentatives constituent, pour reprendre une heureuse expression de l’auteur, autant « d’appels plastiques à l’avenir ». Un