1 1951, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Un complot de protestants (novembre 1951)
1 ivé de foi autant que de religion, ni chrétien ni hindou , sans mystique, ni mystère ? Ne serait-il pas un homme tout à fait pl
2 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
2 Relevons ici que la chronologie vertigineuse des hindous ne s’appliquait qu’aux cycles du cosmos : les événements de l’Histoir
3 ons dans une phase d’expansion. La cosmologie des hindous paraît alors moins éloignée de la vérité que celle du Moyen Âge « chr
3 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
4 zuki en Amérique.) L’Occident découvre la sagesse hindoue , grâce aux présentations quelque peu christianisées qu’en donnent les
5 uple cette leçon. On s’en garde !) Les spirituels hindous cherchent le samadhi, qui est l’absorption totale dans l’Absolu du So
6 L’école orientale La plupart des doctrines hindoues , et l’unanimité des écoles bouddhistes, comme on l’a vu, nient la per
7 eci ni cela, mais qui est l’Immensité, disent les hindous , et qui est le Vide, disent les bouddhistes. Du même coup se trouvent
8 asanârahasya. 87. Alain Daniélou, Le Polythéisme hindou , p. 474. 88. Gopala-uttara-tapîni upanishad. 89. Raja Rao, Le Serp