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qu’il parvient à susciter au cours de ces brèves
imaginations
, avec une bonhomie d’autant plus touchante qu’elle figure, je pense,
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ulement. Ce qui suppose une remarquable absence d’
imagination
. Le prochain plan y pourvoira peut-être. Tout cela est en pleine méta
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utres disent : allons-nous-en, et restent faute d’
imagination
. Et pourtant il suffit de bien peu pour partir : la France a des mill
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es façons. Elle aime les grands rhétoriciens de l’
imagination
fabulatrice. Elle se précipite avec fougue dans leurs pièges les plus
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löf ou la gloire de conter ! Jusqu’au moment où l’
imagination
, ranimant les grands rythmes naturels, libérant les vertus et les vic
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taisie ». Prenons ce mot au sens allemand : une «
imagination
» profonde du destin de Napoléon, voilà ce que nous propose Robert Ar
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aliments qui produiraient l’effet inverse ? Et l’
imagination
peut aisément accélérer ces deux effets. Qu’en résultera-t-il ? Le rê
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s découvrent l’infini et le réintroduisent dans l’
imagination
et la spéculation, puis dans le calcul mathématique. On ne peut plus
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e l’amour que manifeste cette structure. Mais « l’
Imagination
créatrice » des soufis, comme l’angélologie du mazdéisme, nous fait v
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le personnel éternisé par l’effort vivifiant de l’
Imagination
. Ce sont là deux doctrines, deux vues des spirituels. Quelle est la v
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enforce, loin de l’éliminer. 61. Henry Corbin, L’
Imagination
créatrice dans le soufisme d’Ibn Arabi, 1958, p. 28 et 50. 62. Ibid
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p. 161.) 74. Aurore, 517. 75. Henry Corbin, L’
Imagination
créatrice dans le soufisme d’Ibn Arabi, p. 88. 76. Ibn Arabi, in Hen