1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
1 Occident. » L’Occident, c’est l’Esprit incarné. L’ incarnation entraîne des « conditions ». C’est la vision du travail humain, inexo
2 1934, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Taille de l’homme, par C. F. Ramuz (avril 1934)
2 imites, ici et maintenant ? C’est là le sens de l’ Incarnation , en même temps que de la véritable transcendance. C’est là le point d
3 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Sur l’esprit incarné (février 1936)
3 ont jamais prétendu que leur politique fût une «  incarnation  » de l’esprit ; 2° au cas où ils l’auraient fait, ce que j’ignore car
4 ou en langage théologique, ce blasphème ; 3° si l’ incarnation de l’Esprit, c’est-à-dire Jésus-Christ, fils de Dieu, a jamais « port
4 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
5 tionner l’allure de l’odyssée. Ôtez le dogme de l’ Incarnation , formulé au concile de Nicée, et vous ôtez la condition des sciences
6 ifestée par une suite d’événements révélateurs. L’ incarnation du Christ vint accomplir cette vocation unique du peuple d’Israël. Et
7 istance extraordinaire sur l’unicité absolue de l’ Incarnation salvatrice, et cet « une fois pour toutes » qui sert de leitmotiv à l
8 s ce monde des religions antiques du message de l’ Incarnation figure donc le Scandale absolu, la nouveauté totale, proprement impen
5 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
9 iers conciles, ses modèles de pensée en tension : Incarnation , personnes divines à la fois distinctes et reliées. D’où la définitio