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Occident. » L’Occident, c’est l’Esprit incarné. L’
incarnation
entraîne des « conditions ». C’est la vision du travail humain, inexo
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imites, ici et maintenant ? C’est là le sens de l’
Incarnation
, en même temps que de la véritable transcendance. C’est là le point d
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ont jamais prétendu que leur politique fût une «
incarnation
» de l’esprit ; 2° au cas où ils l’auraient fait, ce que j’ignore car
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ou en langage théologique, ce blasphème ; 3° si l’
incarnation
de l’Esprit, c’est-à-dire Jésus-Christ, fils de Dieu, a jamais « port
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tionner l’allure de l’odyssée. Ôtez le dogme de l’
Incarnation
, formulé au concile de Nicée, et vous ôtez la condition des sciences
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ifestée par une suite d’événements révélateurs. L’
incarnation
du Christ vint accomplir cette vocation unique du peuple d’Israël. Et
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istance extraordinaire sur l’unicité absolue de l’
Incarnation
salvatrice, et cet « une fois pour toutes » qui sert de leitmotiv à l
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s ce monde des religions antiques du message de l’
Incarnation
figure donc le Scandale absolu, la nouveauté totale, proprement impen
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iers conciles, ses modèles de pensée en tension :
Incarnation
, personnes divines à la fois distinctes et reliées. D’où la définitio